N’ayons pas peur de vivre dans l’espérance" ROME, dimanche 4 décembre 2011 (ZENIT.org) – "N’ayons pas peur de vivre dans l’espérance" : c’est l’invitation de Benoît XVI aux francophones pour le temps de préparation à Noël. Le pape invite même à être des "messagers impatients de l’espérance", et à "ne pas s’endormir" mais à se montrer Article réservé aux abonnés Devant le Congrès, M. Mitterrand a notamment déclaré " Aujourd'hui, deux grands systèmes, à l'Est et à l'Ouest, continuent de se faire face, tandis que les deux tiers de l'humanité s'efforcent de rompre les enchaînements maléfiques du sous-développement. Dans ce monde, où votre pays joue le rôle majeur, personne - ami ou adversaire - ne peut agir sans tenir compte des États-Unis d'Amérique. Cette puissance confère à vos décisions une importance, une résonance qui donnent la mesure de votre responsabilité dans les affaires de la planète. " La position de la France est claire vous le savez, avec votre pays, comme avec quatorze autres, nous avons constitué l'alliance atlantique. Au sein de cette alliance défensive, la France poursuit sa propre politique de défense, comprise et soutenue par une large majorité de Françaises et de Français. Entre pays libres, une alliance suppose sincérité, franchise, consultation permanente, mais aussi acceptation de points de vue différents. C'est en restant eux-mêmes que les États-Unis et la France se comprennent et se respectent. L'essentiel est que nos deux pays puissent compter l'un sur l'autre. " L'alliance ayant son domaine précis, chacun d'entre nous détermine la nature de ses relations avec les pays de l'Est. Je pense souvent que, sans être l'explication de tout, la géographie détermine l'histoire et que, finalement, celle-ci, pour se faire, doit passer par les mêmes chemins. Regardez la carte de l'Europe et vous verrez où nous sommes, la Russie et la France, voisines de continent, séparées par une distance qui s'amenuise à la vitesse d'un siècle pressé, tandis que les mœurs et les systèmes font semblant de ne plus bouger. Je répète, en toute occasion, que la première garantie de la paix est dans l'équilibre des forces. Voilà pourquoi nous nous montrons si attachés au maintien de cet équilibre dans cette même Europe. Voilà pourquoi, lorsqu'il nous paraît rompu, comme ce fut le cas récemment avec les fusées atomiques à portée intermédiaire, nous mettons tout en œuvre, dans le langage comme dans l'action. Mais, en même temps, restons disponibles. N'ayons pas peur de dialoguer avec l'Union soviétique, dès lors que les bases et les finalités de ces échanges sont nettement et durablement définies. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Méthode1Se préparer. 1. Essayez de réduire vos dépenses avant de décider de vivre sans argent. Prendre la décision de vivre sans argent peut avoir un impact important sur votre vie, en particulier si vous n'habitez pas seul (e) ou que vous avez des gens à charge. Vous trouverez peut-être plus simple de commencer petit à petit, en
1. N'ayons pas peur de vivre au mondeDieu nous a devancés!N'ayons pas peur de vivre au mondeOù Dieu même s'est risqué. 2. N'arrêtons pas la sève ardenteDieu nous a devancés!N'arrêtons pas la sève ardenteQui tourmente l'univers. 3. Chantons des chants gorgés de vieDieu nous a devancés!Chantons des chants gorgés de vieEn dansant au pas de Dieu. 4. Les pas de Dieu mènent au pauvreDieu nous a devancés!Les pas de Dieu mènent au pauvreL'opprimé, c'est Dieu caché. 5. N'attendons pas que la nuit tombeDieu nous a devancés!N'attendons pas que la nuit tombeSur le cri des mal aimés. 6. Pour tout gagner, s'il faut se perdreDieu nous a devancés!Pour tout gagner, s'il faut se perdre,Risquons tout, dans un grand feu.
17juillet 2016. maniacarpe. Exact à propos de la Bretagne, je vais d’ailleurs quitter la Provence que j’habite depuis 20 ans pour partir vivre dans le Morbihan. La vie est trop chère dans le sud, et aucun espoir pour le travail, hormis quelques places de Un accident a eu lieu ce mercredi 24 août dans les environs de 13h30, près de Villeneuve-Loubet. Deux véhicules sont impliqués. Une femme de 68 ans a été évacuée pas les pompiers. Par Rédaction Nice Publié le 24 Août 22 à 1645 Une femme de 68 ans a été transportée au CH Pasteur de Nice suite à un accident de voiture sur l’autoroute A8. © Un accident entre deux véhicules s’est produit sur l’autoroute A8, ce mercredi 24 août, dans les environs de 13h30, au niveau de Villeneuve-Loubet. L’accident a nécessité l’intervention des secours. On ne recense qu’une seule victime, une femme de 68 ans. Elle a été transportée au CH Pasteur de Nice. La circulation revenue à la normaleLa circulation a été fortement perturbée le temps de l’intervention des secours. Le temps de parcours a été allongé d’environ 45 minutes, provocant ainsi d’importants heures après l’incident, à 15h30, les équipes de secours ont terminé leur intervention. La circulation est revenue à la normale. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu Nice dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Mélangesde cultures, d’histoires, de communautés. Vivre aux États-Unis est une véritable immersion, la possibilité d’en découvrir plus partout, de s’en mettre plein les mirettes et de se forger des souvenirs impérissables. En voiture, Simone. L’avis des optimistes : Les paysages varient aussi dans un même état, donc vous
Des funérailles à Moscou de la martyre » Daria Douguina Elle est notre Jeanne d’Arc », dixit un chroniqueur russe au musée » de tanks russes démolis qui sont exposés, par bravade, au centre-ville de Kiev, on voit la Russie comme les États-Unis et l’Ukraine s’enferrer objectivement dans une logique commune, six mois après le début du conflit — celle d’une guerre qu’on laisse s’étirer. Six mois après l’échec foudroyant de la stratégie de guerre éclair tentée par Vladimir Poutine, il s’installe en effet autour de l’agression russe en Ukraine — ou risque de s’installer — une dynamique d’enlisement, de guerre d’usure, sans perspectives diplomatiques de sortie de crise. Les positions restent, de part et d’autre, maximalistes le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, n’a de cesse de dire que les territoires ukrainiens la Crimée et le Donbass ne sont pas négociables. Il l’a encore répété, la semaine dernière, au président turc, Recep Tayyip Erdoğan, qui tente de se poser en médiateur, sur fond de paralysie onusienne. Les Ukrainiens considéreraient toute concession, et on le comprend, comme une capitulation. Vladimir Poutine aurait, quant à lui, entrouvert la porte à des pourparlers avec Zelensky, ont prétendu les Turcs après les conversations qu’Erdoğan a eues à Sotchi avec le président russe. Pour autant, il n’est pas question pour Poutine d’ouvrir des négociations avant que Kiev n’ait définitivement renoncé à la Crimée et aux territoires conquis et occupés depuis février par les Russes, soit environ 20 % de l’Ukraine. D’autant moins que l’assassinat à la voiture piégée de Daria Douguina jette de l’huile sur le feu dans les milieux ultranationalistes qui crient vengeance. D’aucuns ont cru, ou voulu croire, que le récent accord sur l’exportation de céréales depuis les ports ukrainiens de la mer Noire pourrait potentiellement servir de point de départ à des discussions plus larges. Pour l’heure, c’est un espoir en forme de vue de l’esprit. À souffler de temps en temps un peu de chaud sur beaucoup de froid, Poutine ne chercherait en fait qu’à gagner du temps dans un contexte où ses troupes militaires sont essoufflées et où les Ukrainiens, nouvellement armés de technologie de pointe occidentale, sont maintenant en mesure de frapper avec précision des cibles en Crimée. Il se trouve que, militairement, l’automne approche et qu’il constitue bien entendu un horizon opérationnel incontournable. Tandis que Poutine cherche à refaire en hommes ses forces militaires et à lancer une nouvelle offensive de terrain, les Ukrainiens résistent encore et toujours à la supériorité numérique de l’artillerie russe. Résistance exemplaire, il va sans dire, d’autant plus notable que les Ukrainiens célèbrent » en ce mercredi leur indépendance, proclamée le 24 août 1991, mais résistance dont tout le monde sait bien qu’elle n’aurait pas tenu aussi longtemps sans l’appui en armements fournis par les Occidentaux, au premier chef celui des États-Unis. Or, si cet appui est massif, on sait néanmoins qu’il n’est pas suffisant pour modifier significativement le rapport de force. Le risque existe que le conflit soit gelé, au propre comme au figuré, comme après 2014. Auquel cas, quel hiver attendrait les populations ? D’abord pour les Ukrainiens, au vu de l’emprise qu’exerce Moscou sur une bonne partie de l’économie nationale ? Mais aussi pour le commun des Russes, sur lesquels pèsent de plus en plus les sanctions économiques occidentales ? De plus, on ne peut pas faire l’impasse sur le fait que les États-Unis ont intérêt à faire traîner la guerre un certain temps. Elle leur est évidemment utile sur le plan de son industrie militaire, mais également sur les plans énergétique exportations de gaz et agricole ventes de blé. * * * * * Daria Douguina était une ultranationaliste totalement acquise, comme son père Alexandre, à l’opération militaire spéciale » en Ukraine. Au point d’ailleurs de reprocher à Poutine ne pas en faire assez contre l’Occident. Proche des milieux d’extrême droite européens comme l’est Poutine, Alexandre Douguine, que l’attentat visait apparemment plutôt que sa fille, a sans doute exagéré la proximité de ses liens avec le président russe. Il n’en est pas moins un idéologue qui, plaidant pour le rétablissement d’une grande Russie » orthodoxe régnant sur tous les territoires russophones, l’a sûrement inspiré. Fait relevé dans un reportage du New Yorker il se trouve que l’armée de terre russe a recours de façon disproportionnée à de jeunes hommes appartenant à des minorités ethniques provenant de petites républiques économiquement défavorisées, comme le Daghestan, la Tchétchénie et le Bachkirie… Chair à canon de desseins politiques qui les desservent, ils sont à Poutine ce que les Afro-Américains furent pour les États-Unis au Vietnam. À voir en vidéo

Pourvivre heureux, on doit arrêter de courir après ce que l’on n’a pas et être reconnaissant de ce que l’on a. On doit cultiver notre gratitude et apprécier ces choses que l’on prend pour acquis. Des choses simples comme : avoir un toit sur notre tête, manger à notre faim, avoir la santé, avoir une famille et des amis

À l'occasion du synode des évêques sur le Proche-Orient, La Croix, en partenariat avec Radio Vatican, RCF et l'Oeuvre d'Orient, propose chaque jour un entretien avec une personnalité autour des enjeux de ce rassemblement. Mgr Louis Sako Archevêque chaldéen de Kirkouk Irak Premier à avoir exprimé devant Benoît XVI l'idée de ce synode, Mgr Sako revient sur la situation des chrétiens dans son pays destabilisé, sur le défi posé par l'islam et livre ses attentes de cette assemblée synodale dont le coup d'envoi sera donné par la messe d'ouverture, présidée dimanche 10 octobre par Benoît XVI. RéalisationLess is More ProductionMusique : Dj SpaigClip réalisé dans le cadre d'un de nos ateliers RAP & MAO avec des jeunes du centre social Blanche Ha Le règne animal est un endroit merveilleux et parfois insolite qui contient plus de 2 millions d’espèces identifiées rien que sur la planète Terre ! Alors que la plupart de ces animaux pondent des œufs ou donnent naissance à des bébés qui restent à l’extérieur du corps de la mère, quelques-uns ont des poches. Continuez à lire pour en savoir plus sur les animaux avec des poches et comment ils jouent un rôle important pour la créature. Alors que la plupart des animaux que vous trouvez avec des poches appartiennent à la famille des marsupiaux, il y en a quelques autres qui ne sont pas apparentés mais qui ont toujours une poche. Ces animaux peuvent être trouvés aussi bien sur terre que dans la mer. Vous trouverez ci-dessous une liste de 10 animaux avec des poches, dont certains ne sont pas des marsupiaux. 1. Kangourou Kangourou de la faune par pen_ash de Pixabay Nom scientifique Macropodidés Les kangourous sont peut-être les animaux les plus connus avec des poches. Ces marsupiaux utilisent leurs poches pour abriter leurs petits pendant plusieurs mois, les gardant en sécurité et protégés. Les jeunes kangourous, appelés joeys, n’ont qu’environ la taille d’un raisin à leur naissance et deviendront un kangourou adulte pouvant peser jusqu’à 200 livres. Malgré leur agilité, les kangourous ne peuvent ni sauter ni reculer. C’est à cause de leurs grandes queues et de leurs longs pieds. Ce qu’ils peuvent faire, cependant, c’est espérer jusqu’à 25 pieds en un seul bond, et la femelle kangourou peut également interrompre sa grossesse afin qu’elle n’accouche que dans les bonnes conditions. 2. Opossums américains Opossum de Virginie par PublicDomainImages de Pixabay Nom scientifique Didelphidés L’opossum de Virginie est le seul marsupial, ou mammifère en poche, trouvé en Amérique du Nord. Les bébés opossums sont protégés dans la poche pendant leur développement et leur allaitement. Comme les bébés kangourous, les jeunes opossums américains sont connus sous le nom de joeys, tandis que les mâles et les femelles adultes sont appelés valets et jills. L’opossum de Virginie peut sembler effrayant, mais il aide en fait à contrôler la population de tiques et peut consommer jusqu’à 5 000 tiques chaque saison. Ils sont également immunisés contre le venin de divers animaux, tels que les serpents à sonnette, les scorpions et les abeilles. 3. Koala Koala par Holger Detje de Pixabay Nom scientifique Phascolarctos cinereus Un autre marsupial sur notre liste est le koala. Pendant environ 6 mois, le bébé koala restera dans la poche de sa mère jusqu’à ce qu’il soit suffisamment développé pour monter sur le dos de sa mère. Passé ce délai, ils n’utiliseront la poche que pour dormir et se nourrir. Cette poche s’ouvre vers l’arrière vers les pattes arrière du koala, et non vers l’avant comme les autres animaux à poche. Les koalas survivent sur les feuilles de l’eucalyptus et peuvent consommer plus de 2 livres de feuilles par jour. Parce que l’eucalyptus est toxique pour la plupart des autres animaux, le koala possède un organe de digestion spécial qui détoxifie les produits chimiques nocifs trouvés dans le feuillage. 4. Diable de Tasmanie Diable de Tasmanie par Penny de Pixabay Nom scientifique Sarcophilus harrisii Comme les autres marsupiaux, le diable de Tasmanie utilise sa poche pour protéger et nourrir ses bébés, qui restent dans la poche pendant environ 100 jours après leur naissance. Cependant, ils retournent toujours dans la poche pour se nourrir et dormir, mais une fois complètement sevrés, soit environ 6 mois, ils quittent définitivement la poche de leur mère. Les diables de Tasmanie portent naturellement leur nom. Non seulement ils ont un cri inquiétant et déchirant, mais ces créatures dorment à l’intérieur du corps de leur proie et peuvent écraser les os avec leur puissante morsure. 5. Les wombats Wombat par Alois Bühlmann de Pixabay Nom scientifique Vombatidés Le bébé wombat grimpe dans la poche tournée vers l’arrière de sa mère après la naissance. Ils continueront à se développer dans la poche jusqu’à ce qu’ils soient assez vieux pour partir. Un fait intéressant à propos de ces marsupiaux est qu’ils utilisent leurs grosses fesses comme une forme de défense. Non seulement leur derrière peut être utilisé pour écraser les crânes de leurs prédateurs, mais ils peuvent également bloquer leurs terriers avec leurs fesses, qui résistent aux morsures et aux égratignures car elles sont principalement constituées de cartilage dur. 6. Wallaby wallaby par sable de Pixabay Nom scientifique Macropodidés Comme le kangourou, les wallabies ne chassent pas immédiatement leurs bébés de leurs poches une fois qu’ils ont grandi. En fait, il n’est pas rare de trouver deux joeys dans la poche d’un wallaby, l’un juste un petit bébé et l’autre complètement développé. Les wallabies sont principalement des marsupiaux nocturnes et passent la journée à se reposer. Ils se nourrissent de feuilles d’arbres, d’herbe et de racines. Un groupe de wallabies est appelé une foule ». 7. Planeur de sucre planeur de sucre Nom scientifique Petaurus breviceps Un autre marsupial sur notre liste est le planeur de sucre. Ce petit opossum utilise son patagium une membrane qui va de sa cheville à son poignet pour glisser jusqu’à 150 pieds de long. Les planeurs de sucre gardent leurs bébés dans leurs poches jusqu’à 10 semaines. Dans la nature, les phalangers volants vivent en colonies avec jusqu’à 40 autres phalangers volants. Cette colonie comprend généralement 2 mâles alpha qui portent la plupart de la progéniture. Les jeunes planeurs à sucre partiront généralement vers l’âge de 10 mois pour commencer leurs propres colonies. 8. Hippocampe mâle Hippocampe mâle transportant des œufs de Photos de dépôt Nom scientifique Hippocampe Les hippocampes mâles ne font pas partie de la famille des marsupiaux, mais ils ont une poche. Appelée poche à couvain, l’hippocampe mâle incubera ses embryons dans cette structure. Lorsqu’ils seront prêts à naître, les bébés hippocampes seront expulsés de la poche à couvain. Les hippocampes femelles n’ont pas cette poche et ne donnent pas naissance à des bébés. Bien qu’elle ne soit pas en gestation ou n’ait pas accouché de ses petits, l’hippocampe femelle est toujours une partie complexe du processus. L’hippocampe femelle produit en fait les œufs, qui sont ensuite transférés au mâle qui autoféconde les œufs dans sa poche à couvain. Le nombre d’œufs varie d’une espèce d’hippocampe à l’autre. Les petites espèces peuvent avoir de 50 à 150 œufs, tandis que les grandes espèces peuvent en avoir jusqu’à 1500. 9. Loutre de mer Loutre de mer par Christel SAGNIEZ de Pixabay Nom scientifique Enhydra lutris Les loutres de mer ne sont pas des marsupiaux, mais sont souvent mal étiquetées comme telles. En effet, la loutre de mer a une peau lâche sous les bras qui agit comme des poches ou des poches. Bien qu’ils n’utilisent pas les poches pour leurs petits, ils conservent leur nourriture et leurs pierres préférées. La loutre de mer a la fourrure la plus dense de tous les mammifères et peut vivre jusqu’à 20 ans à l’état sauvage. Bien qu’elles soient souvent considérées comme petites, les loutres de mer mâles peuvent peser jusqu’à 70 livres, tandis que les femelles peuvent atteindre jusqu’à 50 livres. 10. Tamia Photo en gros plan un tamia de par 11417994 de Pixabay Nom scientifique Tamias Les tamias ne sont pas des marsupiaux et n’élèvent pas leurs petits dans des poches. Cependant, ils stockent de la nourriture dans leurs poches pour les joues, qui peuvent s’étendre jusqu’à la taille de tout leur corps. Les tamias utilisent leurs joues un peu comme nous utilisons des sacs d’épicerie, les remplissant de nourriture qu’ils ont trouvée pour les ramener chez eux. Là, ils stockeront la nourriture supplémentaire pour se préparer à l’hiver. Non seulement ils peuvent se bourrer les joues, mais un petit tamia peut récolter 165 glands en une seule journée. Un autre fait intéressant à propos de ces adorables petites créatures est qu’un groupe d’entre elles s’appelle une ruée. Ilne s’agit pas de n’importe quels documents, il s’agit de ceux qui ont servi à obtenir de la part de la FDA, mais également de la Commission européenne et des autorités étatiques françaises (Président de la République, Premier ministre, ministre de la Santé) les juteuses autorisations de mise sur le marché qui rendent milliardaires du jour au lendemain.

Est-ce que tu en as assez de vivre dans le regard des autres ou d’avoir constamment peur d’être jugé pour ce que tu fais? Si oui, tu es définitivement à la bonne place. Dans cette série, je te propose des stratégies efficaces pour te détacher de l’opinion des gens et vivre ta vie…pas celle des autres! Voici le 2e épisode sur le sujet. Allez, c’est parti!. . .Rejoindre le Club Direction Excellence CDE, visite le l’article complet de cet épisode, simplement vous rendre dans ma section spéciale Podcast» sur mon site web à l’adresse suivante la chaîne Youtube de Direction Excellence toutes questions, suggestions ou commentaires, n’hésitez pas à me contacter directement à l’adresse suivante info . .La 2e stratégie que je souhaite te partager dans cette série, c’est de rester toi-même. Être authentique est une clé tellement importante pour enfin arriver à ne plus se soucier de l’opinion des autres. Plus tu crois en toi et que tu restes toi-même, moins l’opinion des autres n’a d’impact. D’abord, j’aimerais te rappeler que tu es en train de courir ta propre course. Chaque personne sur cette terre a son propre parcours unique qui lui appartient. Je suis en train de faire ma course, tu fais la tienne et on ne devrait pas avoir le temps de s’arrêter pour ce que les autres en ne suis pas en train de dire qu’il faut vivre dans une bulle isolé des autres, j’essaie juste de te faire réaliser que tout le monde est occupé à gagner sa propre course. Même si tu t’imagines le contraire, les autres s’en foutent un peu de ce que tu fais. Ils sont occupés avec leur chemin à parcourir. En général, l’être humain est plutôt centré sur lui-même, donc les gens ne pensent pas autant à toi et tes actions que tu peux te l’imaginer. Alors, tu as tout intérêt à t’écouter et à demeurer toute façon, si tu n’es pas vrai», c’est comme si tu portais un masque en permanence. C’est comme si tu ne montrais jamais ton vrai visage, que tu te cachais derrière un personnage qui n’est pas peur d’être rejeté et pour plaire à tout prix, je le sais qu’il y a des gens qui font ça, qui vont changer leur attitude et leurs préférences selon les gens qu’ils fréquentent. C’est tout l’opposé d’être authentique. En plus, je te dirais les gens sont rapides à cerner une personne qui n’est pas authentique, ça sonne le point le plus important à comprendre ici, c’est que si tu n’es pas authentique, tu vas attirer les mauvaises personnes vers toi. Ce que je veux dire c’est que tu vas attirer des gens qui aiment la personne…que tu n’es pas vraiment. Les gens connectent avec toi avec la façade que tu leur proposes, mais en réalité ce n’est pas vraiment toi. Tu ne peux pas bâtir des relations sincères si tu n’es pas vraiment toi-même, si tu te caches derrière un personnage.

Onn'en revient pas de vivre ça, parce que c'est justement le truc que l'on ne peut pas et que l'on ne veut pas vivre. Tout le monde dit que c'est impossible et inhumain à vivre, et pourtant on

Bruno Dinant 28 novembre 2018 28 novembre 2018 nayons-pas-peur-de-vivre-au-monde N’ayons Pas Peur De Vivre Au Monde tiré de Chants Liturgiques 3 Carême – Semaine Sainte par Jo Akepsimas. Date de sortie 1993. Piste 5 sur 23. Genre Gospel & Religious. Image précédente Laisser un commentaire Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *CommentaireNom* Adresse de contact* Site web Save my name, email, and site URL in my browser for next time I post a comment. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Lestoïcisme est un courant philosophique occidental ayant pour finalité le bonheur de l'existence humaine obtenu grâce à une acceptation rationnelle de l'ordre du monde et de son évolution. Bon, ça c'était Wikipédia. Et je dois dire que cela ne me parle pas beaucoup.
15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 1010 Notre commune de Chaponost, pas plus que notre communauté de communes, n’est un village gaulois », isolé du monde. Nous sommes dans un monde complexe certes, mais perméable et en interrelation permanente avec l’autre bout de l’agglomération comme avec l’autre bout du monde. Les inondations au Brésil ou les évènements en Tunisie nous préoccupent, c’est normal et dans un sens, c’est heureux. Nous nous tenons informé de la construction du métro ou du projet de grand stade, c’est légitime. La mondialisation comme la métropolisation, nous ne pouvons nous en abstraire. Il ne s’agit ni de les craindre, ni de les souhaiter mais d’en prendre conscience pour faire des choix au niveau qui nous concerne, l’échelon local. Pour moi, c’est celui d’un développement solidaire. Pour ce qui est de l’ouverture au monde, je sais que de nombreux Chaponois s’en préoccupent et je me réjouis de l’implication associative pour la nouvelle édition du festival Vents du monde qui aura lieu en mai prochain. J’espère aussi que nous avancerons cette année dans le projet commun que nous avons avec Lessignano de bagni, d’initier une coopération décentralisée avec une collectivité du sud. En ce qui concerne la métropolisation, deux exemples des problématiques et des choix qui s’offrent à nous. Les transports l’amélioration du 103 que nous finançons donne des premiers résultats encourageants. Pour autant ce service est encore trop peu utilisé en raison de sa faible amplitude horaire, de sa fréquence, de l’insuffisance de l’intermodalité et de l’absence de billettique unique avec le Sytral. Aujourd’hui la majorité des actifs de la commune, l’intégralité des lycéens et des étudiants, travaillent ou étudient sur la métropole lyonnaise. Concevoir un système autarcique ou intéressant des communautés de communes non mitoyennes comme évoqué dernièrement par le Conseil Général, un système où les questions d’intermodalité ou de billettique ne pourront être résolu valablement, ne peut être satisfaisant. Il nous faut proposer un service qui de part sa qualité décide chacun d’entre nous à s’inscrire dans des modes de déplacement écologiquement responsable, à préférer le transport en commun à l’usage individuelle de la voiture. Les entreprises de nos communes ont besoin d’un service de transport de qualité et leur demander de participer au même taux des deux cotés de la CD 42 apparaît légitime. Le protectionnisme, le repliement sur soi n’a jamais apporté la prospérité bien au contraire. Deuxième exemple, la loi sur les territoires je n’évoquerai pas son principal objet, la nomination de conseillers territoriaux sinon pour dire que ce projet politicien ne grandit pas ceux qui l’ont conçu. Mais un autre aspect de la loi me semble plus pertinent. Je veux parler de la création des pôles métropolitains. Ils peuvent constituer pour les territoires qui y adhéreraient une garantie du maintien d’une administration de proximité pour les questions qui en relèvent de l’entretien de la voirie, à l’urbanisme communal en passant par la politique culturelle. Dans le même temps, ils peuvent permettre sur des compétences limitées une optimisation des moyens et une cohérence de actions. Je pense à nouveau à la question des transports collectifs, des grands aménagements ou encore de la recherche ou de l’enseignement supérieur. Un exemple qui nous concerne le contournement de Chaponost que nous défendons avec détermination, avec le soutien de notre député comme de notre président de commune, ce dont je les remercie, est à mon sens un équipement d’agglomération pour faciliter le déplacement des milliers d’habitants des monts du lyonnais qui quotidiennement ont besoin de rejoindre la métropole, qui demain je l’espère le feront via la gare de Chapoonost pour prendre le tram-train. Ne serait-il pas légitime que le financement de ce contournement soit partagé dans le cadre d’un pôle métropolitain? N’ayons pas peur de l’avenir et ne passons pas à côté d’opportunités qui peuvent s’offrir à nous. C’est mon premier vœu pour notre commune, et aussi pour notre communauté de commune. Published by Pierre Menard
Alorsje dirais, contentons-nous simplement de ce que l'on possède, de ce qui nous entoure et de ce que l'on vit car on ne trouvera jamais mieux que la légère chance de faire parti de ce monde. Notre peur ne s'envolera jamais, elle sera présente en nous jusqu'au dernier jour de notre existence. Il faut vivre avec mais ne pas avoir peur d
Le poète ukrainien Taras Chevtchenko 1814-1861 La Ilustracion Espanola y Americana, 1877 Colored PRISMAARCHIVO / LEEMAGE/ AFP Article Abonné Je serais mal placé pour dire ce que représente, pour les Ukrainiens d'aujourd'hui, Taras Chevtchenko. Parce que je lis très mal l'ukrainien et je n'ai lu Chevtchenko que dans des traductions russes au demeurant, me semble-t-il, souvent remarquables. J'ai pourtant l'impression qu'il n'y a pas un Ukrainien, aujourd'hui encore, qui ne connaisse par coeur au moins un poème, ou quelques vers de Chevtchenko - et tous, évidemment, l'ont étudié à l'école. Et puis, j'en suis sûr, il n'y a pas, je crois, un seul Ukrainien qui, pensant à Chevtchenko, ne se sente pas touché au coeur. Et il ne s'agit pas seulement de dire qu'il est un poète national - que c'est son nom qui vous vient aux lèvres quand on parle de poésie ukrainienne, tant pour sa vie que pour son oeuvre, parce qu'il a écrit dans absolument tous les genres de la littérature, depuis la chanson populaire jusqu'à l'épopée, et des poèmes lyriques aux poèmes civiques, politiques, aux chants de révolte nationale. C'est-à-dire qu'avec Taras Chevtchenko, la littérature ukrainienne et, plus justement encore, la langue ukrainienne, ont acquis une grandeur, une résonance universelles, quand bien même cette résonance est trop longtemps restée confinée à l'intérieur des frontières d'un pays qui n'a acquis un statut d'Etat qu'à partir de 1991. Une force vitale exceptionnelle Taras Chevtchenko est né esclave dans un pays qui n'existait pas. Tout jeune adolescent, il est le valet de pied d'un grand aristocrate russe. Cet aristocrate remarque que l'enfant qui lui cire ses bottes est d'une intelligence rare et doué pour le dessin. Son maître, de passage à Pétersbourg, accepte de le laisser faire des études artistiques, il entre à la prestigieuse Académie des Beaux-Arts, devient l'élève préféré du grand peintre Karl Brioullov. Et c'est la vente aux enchères d'un tableau de Brioullov qui permettra de le racheter à son maître, c'est-à-dire de faire de lui un homme libre. Cela, tout le monde le sait, et ce que les gens retiennent de cette enfance, ce n'est pas seulement qu'il vient du peuple, qu'il a connu la misère, la violence, mais qu'il connaît la vie ukrainienne de l'intérieur, et qu'il la représente. Ses tableaux, ses dessins sont une image du peuple ukrainien de son temps. De son adolescence et de sa jeunesse on garde son incroyable énergie, sa force vitale réellement sans exemple. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Il est comme une incarnation de la liberté, et pourtant, libre, il ne l'aura été que très peu de temps. Parce que, très vite, après avoir écrit des poèmes satiriques et indignés contre le pouvoir tsariste, il est arrêté, emprisonné et il va passer plus de dix ans comme simple soldat, au fin fond de la Russie, interdit de rentrer en Ukraine. Plus encore le tsar Nicolas a émis à son encontre un ordre spécial non seulement il devait vivre la vie de bagnard et d'humiliation de tous les autres soldats de ligne de l'armée russe mais, en plus, ses officiers devaient spécialement veiller à ce qu'on lui interdise d'écrire et de dessiner. Si Nicolas Ier, empereur de "toutes les Russies", voulait personnellement briser ce fils d'esclave, ce n'était pas seulement parce qu'il avait protesté contre la violence du pouvoir impérial, mais qu'il l'avait fait en ukrainien et, plus encore, parce qu'il avait écrit, en ukrainien, des appels à la renaissance de la nation ukrainienne alors que l'usage même de cette langue était proscrit dans la presse et l'édition. L'image du résistant au rouleau compresseur russe L'Empire russe, particulièrement à partir de Nicolas Ier, a été une machine à broyer les peuples qui se sont trouvés sous sa domination. Et, là encore, malgré les épreuves, qui allaient le faire mourir à 47 ans, il a continué d'écrire, clandestinement, dans quatre petits carnets préservés et montrés au musée Chevtchenko de Kiev. Ces petits carnets, ils sont une autre image de l'Ukraine face à la Russie de toutes petites choses, on pourrait croire Chevtchenko, des années durant, les cachait dans ses bottes, mais des marques d'un esprit indomptable, comme celui, aujourd'hui de la nation qui, tout entière, à travers quelles épreuves, résiste au rouleau compresseur de celui qui se veut l'héritier, pour ne pas dire la réincarnation, de Nicolas Ier, Poutine. Traducteur et poète, André Markowiz vient de signer l'avant-propos du recueil de poésie Taras Chevtchenko Notre âme ne peut pas mourir éditions Seghers et de publier Et si l'Ukraine libérait la Russie ? Seuil Libelle. Cet article est issu de notre numéro spécial "Nous, les Ukrainiens", en kiosques le 24 août, en partenariat avec BFMTV. Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
Aces craintes, JCall répond en paraphrasant les paroles de Jean Paul II : « N’ayons pas peur ! » Les mouvements dans le monde arabe sont pour la plupart porteurs d’espoir. Les tombeurs de Ben Ali et de Moubarak se sont battus pour la liberté et la démocratie, pas pour menacer Israël. Les nouveaux pouvoirs de transition à Tunis et au Je dirai du Seigneur Il est mon refuge et ma forteresse, mon Dieu; sur Lui je me penche et je compte, et en Lui j’ai [assurément] confiance! Psaumes 912 AMPC.Souvent, nous pensons à des choses qui sont arrivées à de très bonnes personnes et nous nous disons Si cela a pu arriver à telle ou telle personne, qu’en est-il de mo? Cette personne était meilleure que moi!» Eh bien, cela n’a rien à voir avec qui est meilleur que l’autre. Il s’agit de votre marche personnelle avec le Seigneur, et votre foi en Sa Parole. Il s’agit de vos confessions de foi. De mauvaises choses peuvent arriver aux bonnes à nouveau sur les paroles ointes du Psalmiste que nous lisons dans notre verset d’ouverture. C’était la confession de David et cela doit devenir votre confession aussi. De temps en temps, vous dites, Il est mon refuge et ma forteresse, mon Dieu; sur Lui je me penche et je compte, et en Lui j’ai [assurément] confiance!»Apprenez le pouvoir et la valeur du fait de penser et de parler comme il faut. Si votre pensée est erronée, cela se reflétera dans vos paroles. Et si vos paroles sont inadéquates, les choses iront mal dans votre vie. Vos confessions contrôlent votre vie. La Bible dit, Si tu es enlacé par les paroles de ta bouche, Si tu es pris par les paroles de ta bouche,» Proverbes 62.Pas étonnant que le Psaume 391 vous exhorte à monter garde sur ce que vous dites et ne déclare que ce qui est juste …Je veillerai sur mes voies, De peur de pécher par ma langue; Je mettrai un frein à ma bouche ….» Jacques 32 dit, Nous bronchons tous de plusieurs manières. Si quelqu’un ne bronche point en paroles, c’est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride…»Proverbes 154 dit, La langue douce est un arbre de vie»; une langue saine est une langue qui parle conformément aux dispositions de Christ dans son Evangile. Voulez-vous vivre la vie extraordinaire et transcendante de gloire toujours croissante à laquelle Dieu vous a destinée? Vos confessions sont La clé Si quelqu’un, en effet, veut aimer la vie Et voir des jours heureux, Qu’il préserve sa langue du mal Et ses lèvres des paroles trompeuses» 1 Pierre 310. Le fait de préserver votre langue du mal et vos lèvres de la ruse signifie que vous ne parlez qu’en conformité avec la Parole de est la force de ma vie! Même si je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, parce qu’Il est avec moi. Son bâton et Sa houlette me réconfortent. Il tient ma main droite et me dit N’aie pas peur, je suis là pour t’aider. » Par conséquent, je me tiens fort en Lui et en la puissance de Sa force! Gloire à Dieu!ÉTUDE APPROFONDIEMarc 1123; Je vous le dis en vérité, si quelqu`un dit à cette montagne Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et s`il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu`il dit arrive, il le verra s` 1821; La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; Quiconque l`aime en mangera les Corinthiens 212-13; Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses DE LA BIBLE EN 1 AN 1 Corinthiens 8 & Psaumes 120-127LECTURE DE LA BIBLE EN 2 ANS Colossiens 21-7 & Jérémie 8RHAPSODIE DES REALITES REV DR CHRIS OYAKHILOME Dsc. LE, 23 AOÛT 2022
Unchant qui résume le sens de l'envoi de toute célébration : aller nous risquer à vivre ce que nous venons de célébrer, c'est-à-dire le don de la vie pour que vivent les autres. Ecouter, voir et télécharger
1Suite à la lecture de l’article intitulé Marqueurs identitaires religieux et laïcité », de Catherine John, paru dans la revue Empan n? 90 de juin 2013, Laïcités ?, je viens très respectueusement vous proposer mes remarques. 2Votre article est inclus dans un dossier Laïcités », d’excellent niveau, d’autant plus excellent qu’il a en son sein de nombreux éléments éducatifs opérationnels. En tant que professionnels, même si nous avons de moins en moins la tentation de rechercher des recettes toutes prêtes pour notre prise en charge éducative, nous sommes heureux de pouvoir profiter des expériences des autres. 3Je suis actuellement éducateur technique à l’itep institut thérapeutique, éducatif et pédagogique L’Oustalet, établissement géré par l’arseaa. Je suis je pourrais m’engager sans prise de risque éthique en employant le nous » pour dire qu’il s’agit véritablement d’une problématique générale à l’ensemble de mes collègues confronté quotidiennement aux incivilités de type raciste, à l’intrusion des sentiments religieux d’une communauté en particulier et par-dessus tout à l’ignorance. Je suis de plus en plus le réceptacle de la souffrance de nombreux jeunes, avec des histoires personnelles plus ou moins heureuses. 4Ma démarche, en l’occurrence cet écrit, est essentiellement mue par le désir de participer, dans une démarche citoyenne, au débat sur la laïcité. Mon intention se veut pédagogique et autant que faire se peut, souhaite participer à combler les trous » d’incompréhension, à réduire au maximum les approximations, les habitudes de langage et, enfin, à rompre avec les discontinuités intellectuelles qui font des situations sociales une juxtaposition ou un amoncellement de problématiques sociales. 5Je me permets, de manière linéaire, de faire quelques remarques et commentaires sur les parties de votre écrit où, à mon sens, l’approximation est telle qu’elle nécessite un éclaircissement salutaire afin d’assumer la question de la laïcité avec le plus de sérénité possible pour les jeunes que nous accueillons, pour les professionnels et accessoirement pour participer au débat national. 6Dans le cadre de notre pratique professionnelle, nous accueillons des adolescents et en même temps nous recevons les cultures. Chaque année, les jeunes issus de la culture maghrébo-musulmane et/ou habitant les quartiers » ghettos de Toulouse arrivent avec des problématiques plus ou moins renouvelées. Ainsi, la question de la religion et particulièrement celle en lien avec l’islam est récurrente. La dimension thérapeutique, éducative et pédagogique fait de nos instituts des structures adaptées pour appréhender les difficultés des enfants dont nous avons la responsabilité. Ils ne sont en aucune manière inadaptés » à nos établissements. Que des affinités communautaires se tissent, et souvent se défassent dans l’année, fait partie de la problématique de ces enfants. Nous avons donc, dans le cadre de notre pratique professionnelle, même si c’est parfois complexe, particulièrement lorsque l’on manque de moyens théoriques, d’expériences humaines auprès de ces jeunes et dans leur espace culturel de référence, à rencontrer des difficultés de tous ordres. Ce n’est certainement pas en s’accrochant à un modèle laïque épuré, anesthésié que l’on va apporter des réponses aux questions que les jeunes nous posent. Un espace laïque n’est pas un lieu dans lequel la question de la religion est absente. 7En toute circonstance, nous devons faire preuve de pédagogie sans a priori et sans démagogie en n’excluant pas une certaine fermeté intellectuelle, car dire non » ne signifie pas rejeter ou ne pas aimer. Il existe des lois, des traditions il faut s’y référer, les appliquer même si des aménagements intelligents à haute valeur humaine ajoutée ne sont pas à exclure systématiquement. 8En début d’article, page 61, ligne 14, vous faites allusion à un des groupes d’accueil qui compte trois ou quatre enfants maghrébins. Il s’agit d’une appréciation et d’une approximation culturelle. Nous sommes véritablement au cœur de la problématique. 9D’emblée, nous marginalisons des régions d’origine et donc des personnes. Nous oublions facilement, et c’est d’autant plus grave que nous sommes des professionnels, que la plupart des jeunes qui composent ces communautés » sont des citoyens français, nés français sur la terre de France. Du coup, cela en fait des Français par le sang et par le sol. De toute évidence, certains de nos concitoyens ont oublié que la France a été et est demeurée administrativement, jusqu’en 1962, particulièrement pour l’Algérie, cette étendue qui commençait à Dunkerque et se terminait à Tamanrasset ou l’inverse. 10Dans le cas de ces jeunes, il ne s’agit pas de xénogreffe sociale ». L’opération peut s’envisager avec un certain bonheur dans la mesure où il ne peut y avoir de rejet » du corps social ». Ces jeunes-là ne sont pas des Roms déboutés d’un quelconque droit d’asile. Ils n’ont pas à demander ce droit d’asile ils sont chez eux. 11Il s’agit dans presque tous les cas de jeunes citoyens français de culture ou d’origine maghrébine. Il ne nous viendrait pas à l’esprit, lorsqu’un groupe est constitué de Lopez », de Martinez » de parler d’Ibères. Lorsque, dans le cadre des groupes de parole, ces jeunes s’interpellent en arabe, vous parlez de vécu d’exclusion ». Lorsqu’on les traite » de Maghrébins, non seulement on les culpabilise, mais plus grave, on entretient ce vécu d’exclusion qu’ils ont reçu en héritage par les générations qui les ont précédés. Je me permets de vous dire que dans de nombreuses situations, la distance d’avec la culture du Maghreb est telle que l’on ne peut plus parler de culture, tout au plus de souvenirs. La relation avec le Maghreb, lorsqu’elle n’est pas fantasmée, de l’ordre de l’idée, est de l’ordre de l’économique vacances, dépenses, écart de pouvoir d’achat. 12À la page 62, ligne 12, vous dites … la forme d’un terrorisme du droit à la différence … ». Nous avons tous le droit à la différence. Lorsque cette idée est relativisée, remise en question, cela produit le fascisme, le nazisme, le communisme de Staline. L’absence de mesure, d’adaptation, de cohérence, de retenue, de justesse des jeunes dont nous avons la responsabilité éducative dans nos établissements respectifs fait partie de leur problématique. Si nous, professionnels, prenons pour argent comptant » tous les propos, si souvent choquants de ces jeunes, nous manquons à notre devoir de relativisation et de modération à des fins cliniques et par conséquent, nous nous engouffrons dans un puits sans fond. 13À l’inverse, nous devons conserver de la distance afin de distiller de la bienveillance thérapeutique », non du silence coupable qui peut être interprété comme de l’adhésion, afin justement qu’ils ne sombrent pas entre les mains de vrais terroristes. Évitons, autant que faire se peut, les propos des journalistes en mal de sensations, des ignorants qui ne sont pas forcément du côté des jeunes. 14À la page 63, ligne 9, vous parlez de l’islam décomplexé », car certainement plus visible, et de la primauté de l’islam avant d’être arabe. Dans l’esprit de très nombreux jeunes, la confusion est générale et l’ignorance, la règle. Avez-vous eu l’opportunité d’entendre ou vous a-t-on rapporté des propos de jeunes qui se disent islam avant tout » et qui se traitent de Marocains, d’Algériens, de Tunisiens selon les cas ? Les jeunes de culture maghrébine que nous accueillons et qui confondent arabe », musulman », sont de très loin la majorité bruyante. Ils sont aussi très nombreux à avoir du mal à imaginer que l’on puisse être chrétien et arabe, musulman et israélien, juif et marocain. De plus, on peut imaginer que leur environnement social et les nouvelles techniques d’accès aux savoirs peuvent ne pas être aidants. En outre, il est bien connu que l’ignorance se propage plus rapidement. Ainsi, nous nous devons de recevoir les dires, quel que soit le contexte ou la gravité avec laquelle ils nous sont souvent jetés » à la figure, avec beaucoup de prudence, expression de notre clinique professionnelle. Si l’ignorance n’avait pas propagé ses microbes, il y aurait plus de mesure, plus de cohérence, plus de justesse dans les propos. En tant que professionnel dans un itep en particulier, l’erreur est de considérer les mots au premier degré, même si nous devons sans cesse corriger. 15À propos de la nourriture cf. page 63, ligne 45, le Coran parle bien des nourritures telles que les lentilles, le concombre mais en aucune manière de la consommation de viande issue d’animaux non rituellement abattus ou du porc. Les juifs, gens du Livre, ne mangent pas le porc, eux aussi. L’alcool, quel que soit le végétal d’origine raisin, datte, orge …, car issu de la fermentation, est interdit. Ainsi, malgré la grande proximité fraternelle d’avec les autres religions monothéistes, il y a des interdits et donc des différences importantes en matière de nourriture. 16Le halal a été, d’une certaine manière, la goutte qui a fait déborder la coupe. Ce terme, de par sa soudaine visibilité au fronton des boutiques, sur les étals des supermarchés, ainsi que par des relais politiques adroitement orchestrés, donnait l’impression de marées soudaines, de tsunamis » religieux. On n’est plus chez nous », s’exclamèrent les uns, et après que nous réserve-t-on ? ». La notion de halal fait partie intégrante des prescriptions religieuses. Ce n’est en aucune manière une nouveauté ou une lubie. Sa mise en avant met en évidence clairement l’impossibilité de certaines pratiques religieuses dans la sphère publique. 17Gilles Kepel, que vous évoquez, parle d’ une profonde modification identitaire de l’islam de France ». Cette analyse est sujette à caution, malgré la grande science de son auteur. Je pense sincèrement que cette émergence répond plus à une logique de conformation, de mise en conformité de l’islam domestique, longtemps resté caché, dans un souci de cohérence absente durant tant de temps. 18Les premières générations, par souci d’intégration et en attendant le grand retour vers la terre re-promise, ont d’emblée opté pour une certaine discrétion. C’étaient alors des Algériens, des Tunisiens, des Marocains, des Maghrébins, des étrangers marginalisables à souhait, terrés dans le silence car la terre d’accueil n’était pas toujours forcément accueillante. Leurs enfants, citoyens français de souche, ayant des parents étrangers nés français, en terre de France, trouvaient ce discret silence suspect. C’était en leur temps métro, boulot, dodo en toute discrétion ». Ainsi, s’ôter de la vue la misère économique, culturelle, cultuelle d’une multitude grouillante » dans les bidonvilles et les logements insalubres pouvait donner l’illusion d’un problème réglé ou qui n’en était pas un. À présent, les enfants de cette multitude réclament que la Nation assume son liberté, égalité, fraternité », sans concession d’aucune sorte et surtout sans demi-mesure. Un nouveau contrat social est donc nécessaire pour que l’on se rende compte qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une profonde modification identitaire de l’islam de France » mais de la réclamation d’un dû dans la République laïque. 19L’émergence du halal répond à ce désir de cohérence. Le contexte social, peu favorable à un contrat éclairé, fait se heurter désir humain et cadre public. Se mettre en cohérence afin de sens, en conformation, ne signifie pas, pour l’islam de France et pour la très grande majorité silencieuse des musulmans français, appliquer et faire un usage révolutionnaire de leur foi. 20Nous avons la chance de vivre dans un pays de droit. L’arsenal légal est suffisamment conséquent. Certains responsables politiques retors, à des fins partisanes, font croire que la France est démunie, que le péril est aux portes de notre chère patrie, qu’il faut créer artificiellement un état d’urgence de référence afin de pouvoir justifier l’injustifiable. Cet arsenal doit être actif. Il doit intégrer le questionnement social des communautés humaines de la Nation. C’est au législateur à œuvrer en toute sérénité. 21Dans notre institution, la prise en charge de la question du halal est éminemment positive. D’emblée, le cadre est posé. Il s’agit d’un établissement laïc, qui ne peut donc souffrir d’aucune marque prosélyte visible d’une quelconque confession religieuse. Il n’en demeure pas moins une entité sociale à vocation d’accueil thérapeutique. Afin de ne pas marginaliser, au-delà du respectable humainement parlant, un contrat, dans une logique de gagnant-gagnant et en référence au cadre légal, est passé entre l’établissement et le jeune et les parents. D’une certaine manière, dans l’esprit de communauté de destin, chaque contractant fait un pas vers l’autre afin que socialement les choses soient possibles. 22Ainsi, quand au menu figure du porc, systématiquement du poisson est proposé. Très souvent, par souci de cohérence, les jeunes qui ne mangent pas de porc ne mangent pas non plus la viande non halal. Il s’agit du pas en avant de l’institution vers l’autre ». Par souci d’organisation et en référence au cadre légal de référence, on ne peut exiger le halal. Certes, on peut reprocher, à la longue, une certaine pauvreté dans la variété. Mais au-delà de cette situation, la primauté doit être donnée aux principes de vivre mieux ensemble. 23Au quotidien, dans notre pratique professionnelle, on ne peut faire l’économie de la pédagogie à l’intention des enfants et des parents. Aussi, il n’y aura pas à craindre que l’extension du domaine du halal mette en péril la laïcité dans nos institutions. 24La construction identitaire se fait sur un long fleuve pas toujours tranquille. En temps ordinaire, on plante pour vous ou vous plantez les racines le long du fleuve, sur une rive de référence. Il s’agit de la société d’expression de vos marqueurs identitaires. Mais lorsque l’on vous déracine, vous vous retrouvez à démolir en surface afin de lisser l’espace pour pouvoir reconstruire le nouvel édifice. Dans l’amoncellement de gravats, vous négligez, dans l’emportement, les racines profondes. Sur l’autre rive, vous n’avez pas toujours la chance de croiser le regard de l’Auvergnat faisant l’offrande de quatre bouts de bois pour qu’avec lui vous puissiez allumer un feu de joie, l’Hôtesse, généreuse, faisant le sacrifice de quatre bouts de pain pour élever le festin au rang de partage, ou alors l’Étranger, un autre miséreux, au rire éclatant de soleil. 25Effectivement ligne 29, page 61, ces revendications, éventuellement agressives, d’appartenance communautaire … masquent mal leur isolement face aux méandres de la construction identitaire … ». La société française, en raison de la proximité humaine avec le monde arabo-maghrébo-musulman, par l’histoire, l’espace géographique commun, est toujours dans une logique de bouturage. Elle n’a jamais pu imaginer opérer autrement. On bouture et c’est à la plante à prendre, même si l’on néglige plus ou moins consciemment la fertilisation. Ainsi, la société opère comme la nature en amont. 26Les difficultés psychologiques, sources des problématiques d’intégration sociale, sont déterminantes pour l’orientation en itep des jeunes dont nous avons la responsabilité. 27Les difficultés des enfants de culture maghrébo-musulmane ne doivent pas constituer une problématique singulière, même si leur interpellation sociale est nouvelle, faisant l’objet d’un traitement spécifique. La dimension confessionnelle doit être envisagée comme un pan d’un ensemble plus ou moins complexe, plus ou moins homogène. À défaut de les stigmatiser avec le cœur, ne le faisons pas avec les réponse à Laouabdia Sellami Mohamed Salah28Mon propos était autant de participer au débat sur la laïcité que de faire part de difficultés, voire d’impasses thérapeutiques en partie dues à la non-prise en compte de la culture d’origine de ces adolescents. 29Il me semble que nous ne sortirons pas de l’impasse sans passer par un travail institutionnel de fond sur la question de la transmission, de l’histoire et de la richesse d’une appartenance culturelle double, trop peu valorisée, et souvent vécue comme handicap. Pourquoi est-il si difficile de choisir sur notre territoire d’apprendre l’arabe au collège en première langue vivante ? À bien des points de vue, la République a failli et continue de le faire dans certains quartiers, ce qui est dénoncé par Gilles Kepel avec beaucoup de fermeté. 30Ces adolescents ne sauraient être traités dignement que de façon singulière, ce qui n’est en rien une stigmatisation mais un ajustement de l’accompagnement au plus près de leur problématique. 31Docteur Catherine John

Nousne connaissons réellement rien de ce monde, nous ne sommes pas au monde. (Georges Bernanos, Journal d'un curé campagne) #852 Le péché contre l'espérance — le plus mortel de tous, et peut-être le mieux accueilli, le plus caressé. Il faut beaucoup de temps pour le reconnaître, et la tristesse qui l'annonce, le précède, est si

Article réservé aux abonnés Londres, 19 juin. - M. Eden était hier l'hôte d'honneur d'un dîner des " Pèlerins de Grande-Bretagne ", qui réunissait quatre cents ambassadeurs, parlementaires, évoques et autres grands du royaume. La société des " Pèlerins " se consacre au développement de l'amitié anglo-américaine. Il était donc normal que M. Eden déclarât d'abord " Tout est possible, aussi longtemps que l'unité et la compréhension mutuelle existent entre les alliés britanniques et américains. Rien ne peut être construit s'ils sont séparés. " Le secrétaire du Foreign Office a certes salué avec chaleur " une communauté européenne qui combine ses forces et ses énergies plus étroitement que jamais dans l'histoire " ; il a néanmoins présenté les peuples anglo-saxons comme la véritable source de la plus vaste communauté atlantique. Deux thèmes ont dominé son discours le premier est celui de l'indépendance réelle que les partenaires atlantiques devraient maintenir, même si les liens qui les unissent sont indissolubles ; l'autre la nécessité pour la puissante communauté atlantique en train de s'élaborer, de permettre de " négocier avec les Russes un règlement honnête ". On doit attendre avec confiance, a déclaré M. Eden, le moment où " une détente paraîtra aussi désirable aux Soviets qu'à nous-mêmes ". Des formules aussi générales ne risquaient pas de troubler le ciel diplomatique, et les paroles du secrétaire du Foreign Office étaient jusque-là en parfait accord avec le ton académique des discours prononcés au dîner des " Pèlerins ". Mais le secrétaire du Foreign Office tenait apparemment à être plus précis. " Permettez-moi d'ajouter, dit-il, que lorsque survient une chance de négocier et d'améliorer les relations, nous ne devons pas en être effrayés. À mesure que notre force croît, notre confiance et notre assurance devraient croître également. " Il était évidemment difficile qu'un auditoire de diplomates ne discernât pas dans cette phrase une allusion très directe aux controverses de ces derniers jours, et une façon d'affirmer en public la thèse de Londres et de Paris en faveur d'un " contact vivant " avec les Russes au sujet de l'Allemagne. C'était aussi une manière de prendre position en vue des entretiens qui s'ouvriront lundi avec l'arrivée de M. Acheson dans la capitale britannique. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. 1 Les Yourtes. La Yourte est l’habitat traditionnel de nombreux nomades en Asie Centrale, comme en Mongolie. C’est une maison alternative pas chère qui a fait ses preuves. Facilement montable et démontable, elle est capable de supporter des températures très rudes. Prix : à partir de 5000 euros.

Le 22 octobre 1978, Jean-Paul II débutait son ministère en prononçant cette exclamation inoubliable, un signe de foi et de courage. Selon le postulateur de sa cause en canonisation, en ces temps de pandémie, ces mots résonnent avec une force nouvelle. Orazio Coclite et Alessandro De Carolis – Cité du Vatican Le monde actuel, blessé par la Covid-19, a perdu une grande partie de ses certitudes. La tentation, ces temps-ci, est de trouver des solutions en ordre dispersé, c'est pourquoi - dès les premières heures de la pandémie, le Pape François a invité la communauté internationale à ne pas se désintégrer, en insistant sur le fait que l’on ne se sauve pas seul, mais ensemble», une considération qui revient dans de nombreux discours même de haut niveau. À un autre moment de l'histoire, la voix d'un autre pape a connu un sort similaire. Il y a 42 ans, le 22 octobre 1978, devant des milliers de visages qui se tournaient vers lui depuis le parvis de la place Saint-Pierre, Jean-Paul II a commencé son pontificat en s'exclamant soudain N'ayez pas peur ! Ouvrez, en effet, grandes les portes au Christ !». Une incitation à se confier à un plus grand pouvoir salvateur», à une époque de murs et de systèmes opposés. Maintenant que le mur à abattre est l'infiniment petit d'un virus, l'appel de Karol Wojtyla résonne intact dans sa pertinence. C'est ce qu'explique à Vatican News le postulateur de la cause de canonisation de saint Jean-Paul II, Mgr Slawomir Oder R. - Me revient à l’esprit une phrase que j’ai trouvée dans ses écrits, qui remonte au tout début de son pontificat, quand il retrace son histoire, il conclut en affirmant Debitor factus sum», Je suis devenu débiteur», et pour moi cela est aussi une clé pour interpréter ce qu’est le phénomène de Jean-Paul II il paie de sa vie la dette d'amour, en particulier qu’il a envers le Christ. Et pour cette raison les mots Ouvrez, ouvrez en grand les portes au Christ» ont une valeur programmatique à cette époque, mais ils restent valables encore aujourd'hui. Tout comme la vie de Jean-Paul II consistait à payer sa dette envers Dieu pour son amour, nous, aujourd'hui, en acceptant son invitation, nous pouvons en quelque sorte faire notre part en payant notre dette vis-à-vis de ce pape et de la période que nous traversons. Si aujourd'hui, même dans le contexte du monde frappé par la pandémie, nous avons recours au Christ, nous pouvons aussi ouvrir nos cœurs et nos esprits, nos consciences -ouvrir les systèmes politiques, économiques, étatiques, culturels, les vastes domaines dans lesquels l'homme agit- au message chrétien. Jean-Paul II a fait preuve d'une grande force quel témoignage nous a-t-il laissé dans sa façon de vivre la maladie ? R. - Je pense qu’il nous reste à tous une image forte, celle qu’il nous a laissée justement à la fin de ses jours, le denier Vendredi Saint. On se souvient de ce tournage pour la télévision de sa participation à son dernier Chemin de croix au Colisée. Il n’était plus présent physiquement parmi les pèlerins, mais dans sa chapelle enserrant la croix de ses mains. Pour lui, la croix était une clé de lecture des douleurs humaines, une clé ouvrait les portes de l’espérance. Jean-Paul II a été un protagoniste de l'histoire. Je ne me souviens pas qui affirme que chacun apporte sa contribution, qui avec une virgule qui avec un chapitre, mais il me semble que celle de Wojtyla vaut plus qu'un livre... Ce ne fait aucun doute. Nous avons été témoins de véritables changements d'époque, ayant certainement des racines très lointaines. L’élection de Jean-Paul II a été un élément, cet homme qui venait d'un pays lointain, de Pologne, au-delà du rideau de fer. Soudain, avec lui, il a fallu prendre conscience de l'existence de l'Europe de l'Est. Mais bien qu'il ait été un protagoniste avec ses mots, ses paroles d’encouragement, il était extrêmement humble. Quand on lui a fait remarquer que c'était lui qui avait fait tomber le communisme, il le niait très clairement. Il disait que c'était l’œuvre de la Divine Providence, qui s’était servi aussi de lui. Jean-Paul II est un homme qui a accompagné tous ces processus historiques par sa prière tout d'abord, mais ensuite par sa parole, par son enseignement, par le témoignage de son courage et par des gestes prophétiques. Jean-Paul II nous a appris à ne pas nous résigner à la médiocrité, mais à vivre la plénitude de notre vie de manière à faire d’elle un véritable chef-d'œuvre. Jean-Paul II dans la Vallée des temples en Sicile en 1993

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