Lavie elle-mĂȘme provient dâune cellule qui se fractionne et se divise et se multiplie. Dieu est ce tout qui est un et unitĂ© ! Pourtant un ne reste pas seul Saint Paul invite lâhomme et la femme Ă ne former quâun ! Un couple, qui ne restera pas longtemps seul, mais se multipliera et deviendra encore une fois « un » en formant
Les bureaux CogitoâZ, oĂč Jeanne Siaud-Facchin accompagne les personnes Ă haut potentiel, ne sont que le seuil de notre rencontre. TrĂšs vite, la psychologue clinicienne et psychothĂ©rapeute nous entraĂźne dans la clairiĂšre de son esprit, ce havre de paix baignĂ© de soleil qui illustre le mieux pour elle lâidĂ©e de sĂ©rĂ©nitĂ©. Elle sây laisse inspirer par les Ă©nergies du rassemblement et de la confiance, deux nobles qualitĂ©s qui peuvent illuminer notre route dĂšs lors que lâon prend la peine de les cultiver dans notre relation Ă nous-mĂȘme, aux autres et Ă la vie. RASSEMBLER Câest cette capacitĂ© intime dâĂȘtre honnĂȘte et lucide vis-Ă -vis de soi, dans une forme dâacceptation, et peut-ĂȘtre mĂȘme de renoncement, par rapport Ă tout ce quâon aurait pu, tout ce quâon aurait dĂ», tout ce quâon pense quâil aurait fallu rĂ©aliser. Câest se rassembler soi-mĂȘme dans un monde oĂč demeure toujours la tentation de lâĂ©parpillement et oĂč nous dispersons beaucoup notre Ăąme. Un peu comme quand on joue Ă la roulette. Le pire, pour moi, dans ce jeu, câest de voir certains participants placer leur pion Ă cheval sur plusieurs numĂ©ros, pour ĂȘtre certains de gagner ou de ne pas totalement perdre. Câest typique de personnes qui nâont pas le courage dâassumer ce quâelles sont, ce quâelles font et pourquoi elles le font, comme si elles nâĂ©taient pas alignĂ©es, par peur, sur le sens profond de leurs valeurs. Peur de ne pas ĂȘtre Ă la hauteur, peur des autres, dâaccomplir des choses, de sâexposer, de ne pas ĂȘtre aimĂ©, de ses fragilitĂ©s⊠Tout cela nous conduit Ă nous disperser Ă©normĂ©ment en espĂ©rant, Ă un moment, gagner quelque chose, avoir un retour sur investissement. Miser sur un numĂ©ro, dans la vie, câest consacrer toute son Ă©nergie, toutes ses compĂ©tences, tout son talent dans une voie en se disant que câest la bonne, quâil nây en pas dâautres. Ca exclue certes des myriades de possibilitĂ©s et ça peut, Ă lâextrĂȘme, nous rendre rigide, tel un cheval de traie avec des orniĂšres, sur un seul sillon, qui ne veut rien voir ce quâil se passe autour. Mais ça exige aussi beaucoup de courage. Se rassembler, câest peut-ĂȘtre finalement se dire â pour terminer sur la mĂ©taphore de la roulette â que nous sommes faits de tous ces numĂ©ros. Câest sâunir Ă soi-mĂȘme et rĂ©unir tout ce qui fait que lâon est ce que lâon est, dans ses faces lumineuses et ses cĂŽtĂ©s plus sombres. Sâaccepter profondĂ©ment, mĂȘme si les autres ne voient pas que nos bons » cĂŽtĂ©s. Mais ce mot mâĂ©voque aussi une notion dâintelligence car âintelligereâ signifie, Ă©tymologiquement, faire des liens. Pour moi, la plus belle intelligence de lâhomme est justement de construire en permanence des liens avec tout ce quâil vit, tout ce quâil est, avec les autres, avec tout ce que lui offre et lui retire lâexistence. Câest de lâalchimie de vie, comme quand on fabrique une potion dans une grande marmite on y met de lâaciditĂ©, du sucrĂ©, de la douceur, de lâamertume. Lâintelligence collective nous a offert cette phrase tout seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin ». Et elle peut se dĂ©cliner de mille et une façons. Quelquefois, on peut ĂȘtre piĂ©gĂ© par lâillusion que notre façon de comprendre et de voir est la meilleure. TrĂšs vite, on se met Ă donner des conseils aux autres moi, je pense que⊠». Dâaccord, mais ce nâest quâun grain de sable dans lâunivers, et chacun pense diffĂ©remment. Je parlais de potions, mais quand on prĂ©pare, plus ordinairement, une soupe dans sa cuisine, il faut souvent tourner, sinon ça brĂ»le. Câest un peu ça le mouvement de la vie, il faut tout le temps tourner et rassembler. CONFIANCE Avoir confiance, câest avoir foi, au sens noble du terme, en quelque chose dâinĂ©branlable. Il y a toujours la trilogie confiance en soi, en lâautre, en la vie. La confiance en soi, ce nâest pas se considĂ©rer comme le meilleur, le plus fort, le plus compĂ©tent. Non, câest, une fois encore, pouvoir prendre en compte ce qui, chez soi, fonctionne et ne fonctionne pas, et ĂȘtre Ă lâaise avec ça. Si lâon peut sâaimer tel que lâon est, on peut aussi sâĂ©lancer dans la vie comme dans ces gymkhanas oĂč lâon relĂšve des dĂ©fis, oĂč lâon rĂ©sout des Ă©nigmes, oĂč lâon dĂ©passe des situations en se disant je vais faire du mieux possible avec ce que je suis parce que, de toute façon, câest le maximum que je puisse faire ». Avoir confiance en soi, câest aussi accepter ses limites. Par exemple, moi, je suis petite et, par dĂ©finition, je ne peux pas attraper certains objets dans une cuisine. Mais je mâen fiche, ça ne mâempĂȘche pas dâavoir confiance en moi. Toi qui est grand, vas-y, moi, petite, je me faufile ». Il est plus facile de dĂ©velopper une confiance en soi solide quand on a une base interne de sĂ©curitĂ©. La psychologie du dĂ©veloppement nous explique quâelle vient de la qualitĂ© de la relation quâon a eu avec les figures dâattachement que sont nos parents. Mais cela ne nous empĂȘche pas de lâacquĂ©rir Ă tous les Ăąges de la vie, de la prendre en route. La confiance en la vie, câest accepter le fait quâil peut nous arriver des tas de catastrophes, tous les jours. Que ce soit sur un plan personnel, sur celui de la sociĂ©tĂ©, ou de lâhumanitĂ©, des catastrophes en veux-tu en voilĂ . Notre cerveau est dâailleurs formatĂ© de sorte Ă voir dâabord ce qui dysfonctionne. Ăa nous permet dâavoir conscience des dangers, de ne pas faire tout et nâimporte quoi, de ne pas se dire tiens, je vais essayer de marcher sur la rambarde parce que câest rigolo et que je verrai bien mieux la Tour Eiffel qui est juste là ». AprĂšs, câest la capacitĂ© de se dĂ©caler sur le bas cĂŽtĂ© et de dire wow ok, il y a des nuages, mais regarde cette lumiĂšre sur lâimmeuble en face, comme elle est belle ! » La capacitĂ© de se saisir, de capturer, ce qui va pouvoir justement Ă©clairer notre chemin au milieu des catastrophes. Je fais beaucoup ça avec mes patients, leur dire si on revient sur votre journĂ©e dâhier, Ă quel moment avez-vous eu lâimpression que la vie vous faisait un clin dâĆil et que câest passĂ© si vite que vous ne vous en ĂȘtes pas rendu compte ? » Je nâai jamais rencontrĂ© un patient, depuis 30 ans que jâexerce, qui mâait rĂ©pondu non, rien ». Il est trĂšs intĂ©ressant dâaccompagner quelquâun pour tordre un peu son regard, pour lui dire regarde, lĂ , dans le coin, il nây a pas un truc, quand mĂȘme, quâon pourrait attraper ? » Ce nâest pas une question de dire wow, tout est merveilleux », parce que ce nâest pas vrai. Câest juste se rendre compte que dans une journĂ©e, dans une heure, il y a des petites choses, aussi microscopiques soient-elles, quâon peut aller attraper et qui sont beaucoup moins sombres que tout le reste. La confiance en lâautre, câest mettre Ă distance la peur dâĂȘtre trahi, dâĂȘtre déçu ou de ne pas ĂȘtre aimĂ© tel que lâon est. Je dis souvent Ă mes patients Ok, vous avez Ă©tĂ© trahi, vous ĂȘtes déçu, mais dans la grande balance de la vie, est-ce que vous ne faites plus jamais confiance, ou est-ce que de laisser cette Ă©nergie de la confiance, est-ce que ce nâest pas beaucoup plus avantageux pour vous de continuer ? Est ce que, finalement, la balance, elle ne finira pas par pencher, mĂȘme si vous avez Ă©tĂ© blessĂ© ? MalgrĂ© les coups de grisou que vous avez vĂ©cu, parce que vous ne vous ĂȘtes pas senti aimĂ©, reconnu ? Eh bien remettez encore toute votre confiance, câest comme lâamour, ça ne se divise pas, ça se multiplie ! » Plus on le fait, plus on Ă©largit le champ des possibilitĂ©s de se sentir Ă sa place dans sa vie. Il ne sâagit pas que la vie nous rende, ce nâest pas ce calcul-lĂ , cette mĂ©canique-lĂ . Câest que, plus on fait confiance, plus on ressent de la confiance, plus on se sent alignĂ© dans la vie, plus on se relie Ă notre propre Ă©nergie de vie. Psychologue clinicienne, psychothĂ©rapeute, Jeanne Siaud-Facchin a fondĂ© CogitoâZ, des Centres de Psychologie IntĂ©grative en France et Ă lâĂ©tranger. Auteure de nombreux ouvrages Ă succĂšs, Jeanne Siaud-Facchin a publiĂ© derniĂšrement Sâil te plait aide-moi Ă vivre. Pour une nouvelle psychologie aux Ăditions Odile Jacob. Elle prĂ©side aussi lâassociation Zebra, centre ressource pour les surdouĂ©s et fait partie du ComitĂ© Scientifique de lâassociation SEVE, de FrĂ©dĂ©ric Lenoir. Elle a aussi crĂ©e Mindful UP des programmes de mĂ©ditations pour enfants et adolescents. Portrait © stella&claudel Propos recueillis par Nathalie Cohen et Aubry François
Ence moment, c'est plutÎt les vacances pour mon gros poney! Il faut absolument remédié à tout ça ! lol Sinon, les petites minutes de travail sont de purs moments en ce
Manon se retrouva sur le seuil de la porte de sa chambre, son sac Ă dos sur les Ă©paules, son manteau boutonnĂ© et sa queue-de-cheval bien haute comme elle aimait quâelle fut positionnĂ©e. Elle eut un moment dâhĂ©sitation, se demandant si elle nâallait pas repartir pour un ailleurs inconnu, une aventure pittoresque semĂ©e dâembĂ»ches et de rencontres palpitantes. Mais non, elle restait lĂ , sur le pas de la porte et dans son for intĂ©rieur elle sut pourquoi. Sa colĂšre avait disparu. Ses reproches sâĂ©taient Ă©vanouis et ses inquiĂ©tudes envolĂ©es. Pour la premiĂšre fois depuis longtemps elle se sentait apaisĂ©e, mĂȘme de bonne humeur. Une idĂ©e lui traversa alors la tĂȘte ! Elle jeta son manteau sur une patĂšre, se dĂ©chaussa rapidement, lĂącha son sac Ă dos au pied de son bureau et sâassit sur sa chaise aprĂšs avoir saisi un paquet dâenveloppes. Sur chacune dâelle elle inscrit un nom mon papa, ma maman, mon beau-pĂšre, ma belle-mĂšre, mon petit frĂšre, mon frĂšre, ma sĆur. Puis elle choisit plusieurs feuilles de couleurs et sur chacune elle Ă©crivit le mĂȘme texte Parce que lâamour se multiplie, je vous invite Ă participer Ă un grand petit-dĂ©jeuner qui rĂ©unira toute ma famille. JâespĂšre quâil sera joyeux, amusant, bruyant et restera pour chacun dâentre nous un merveilleux souvenir ! Manon » Elle mit chacune des invitations dans chacune des enveloppes, posa le tout sur son bureau puis alla confortablement sâinstaller dans son lit. Elle savait que pour la premiĂšre fois depuis longtemps, ses rĂȘves seraient merveilleux et quâelle y retrouverait des amis venus des quatre coins du monde, avec qui elle partagerait Ă nouveau dâinoubliables moments et de prĂ©cieux conseils. » FIN
Afficheoriginale et design Lâamour dâune maman ne se divise pas il se multiplie
Temps de lecture 19 minutes Quand le libĂ©ralisme triomphant nous imposait un individualisme dĂ©bridĂ© avec une conception de l'homme rĂ©duite Ă ses plus mauvais cĂŽtĂ©s, l'urgence Ă©tait bien d'affirmer notre communautĂ© originaire et de refonder nos solidaritĂ©s sociales mais lorsque les mouvements sociaux se rĂ©veillent et qu'on assiste au retour de l'Etat, l'urgence redevient l'affirmation de la libertĂ© individuelle et de ne pas tomber dans un angĂ©lisme destructeur mais de prĂ©server la dualitĂ©, voire la duplicitĂ© de notre rĂ©alitĂ© humaine. Ce n'est pas parce qu'il y a de l'universel qu'il n'y a pas de particulier. Il y a du collectif mais il y a aussi de l'individuel. Certes, il n'y a pas que des corps, il y a aussi les relations entre les corps mais il y a quand mĂȘme la part du corps. Il n'y a pas de dignitĂ© en dehors de l'appartenance Ă la communautĂ© humaine mais cette dignitĂ© rĂ©side malgrĂ© tout dans notre libertĂ© et responsabilitĂ© individuelle ; libertĂ© constituant l'essence mĂȘme de l'amour et de ses contradictions, Ă mille lieues de la libertĂ© idĂ©alisĂ©e du libĂ©ralisme. Tout est matiĂšre, tout est solidaire mais tout ne forme pas une unitĂ© indistincte, il y a diffĂ©rentes dimensions, une pluralitĂ© de systĂšmes et d'organismes, il y a des vivants, il y a de l'information, il y a du langage, il y a de l'esprit dans toute parole, toute rĂ©flexion. Il n'y a pas que l'identitĂ© de tous avec tous, il y a aussi la diffĂ©rence de chacun avec chacun. Il n'y a pas que ce qui nous rassemble, il y a aussi ce qui nous divise voire nous oppose et aprĂšs avoir voulu tout rĂ©unir, il nous faudra sĂ©parer de nouveau. Impossible de s'en sortir sans un minimum de dialectique oĂč l'on peut ĂȘtre solitaire sans ĂȘtre individualiste tout comme on peut ĂȘtre sociable sans jouer collectif, ou mĂȘme parler au nom de tous sans prendre l'avis de personne. Il est d'autant moins facile de rĂ©futer les Ă©lans mystiques et l'identification de l'individu au collectif que l'unitĂ© fusionnelle finit par englober tout l'univers. Il faut dĂšs lors remonter trĂšs haut pour essayer de comprendre comment un se divise en deux, comment la vie s'oppose Ă l'entropie, l'homme Ă l'animal, l'individu au collectif auquel il appartient ; sĂ©paration originelle qui constitue le caractĂšre tragique de la vie dont aucune utopie ne nous dĂ©livrera car il fait aussi tout le prix de l'existence. Contre les tendances mystiques et la tentation spinoziste, il s'agit de comprendre ce qui nous oppose Ă l'univers dont nous faisons partie pourtant et de rĂ©tablir un strict dualisme entre matiĂšre et perception comme entre l'Ăšre de l'Ă©nergie et l'Ăšre de l'information tout comme entre individu et collectif. D'une certaine façon je m'acquitte ici, quoique sous une forme trop abrĂ©gĂ©e, d'une promesse faite Ă Jacques Robin de donner ma version de l'aventure de l'univers qui se dĂ©marque de la sienne Ă la fin de sa vie, portĂ©e par des Ă©lans cosmiques auxquels je me refuse, pour ĂȘtre plus fidĂšle peut-ĂȘtre Ă son intuition centrale, dĂ©fendue toute sa vie durant, d'une rupture radicale entre le monde de l'Ă©nergie et le monde de l'information ainsi que la nĂ©cessitĂ© d'une pluralitĂ© des systĂšmes. On pourrait dire qu'il s'agit de l'impossible existence de l'ensemble de tous les ensembles, d'une totalitĂ© des totalitĂ©s, sans nier pour autant l'existence de systĂšmes et de totalitĂ©s effectives, comme s'il n'y avait que des corps isolĂ©s. Rien de plus facile que de rĂ©futer le dualisme il n'y a qu'un seul monde, qu'il soit fait de matiĂšre ou simple vision de l'esprit, pas de place pour l'espace "et" la pensĂ©e, pas de place pour la bifurcation, la rupture, c'est tout un ou tout autre. A l'opposĂ©, le dualisme est ce qui pense Ă la fois l'une et l'autre dimension, leur hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© et leurs interactions qu'on perd en les ramenant Ă l'unitĂ© premiĂšre, nuit obscure oĂč toutes les vaches sont noires. L'Ă©tonnant, c'est qu'il puisse y avoir un lien entre le regard surplombant, oĂč les diffĂ©rences s'annulent ou se confondent, et les effusions collectives oĂč les identitĂ©s se fondent temporairement dans le groupe. Dans les 2 cas, il faudrait arriver pourtant Ă penser la diffĂ©rence derriĂšre l'unitĂ© de façade, penser Ă la fois l'individu et le collectif dans leurs complexitĂ©s afin de restituer une anthropologie plus rĂ©aliste dans ses contradictions mĂȘmes et sa sexuation, qui ne soit ni libĂ©ralisme individualiste, ni totalitarisme communautaire mais une Ă©cologie de la diversitĂ© qui nous unit en tant que sĂ©parĂ©s et ne mutile pas notre double nature. Comment un dualisme peut-il ĂȘtre pensable ? Comment deux pourrait-il Ă©merger de l'un ? C'est la vie qui rĂ©pond avec la division cellulaire au moins, si ce n'est avec la sexualitĂ©, mais plus fondamentalement par l'Ă©mergence de la vie elle-mĂȘme et de l'esprit, Ă partir de l'univers mais contre lui peut-on dire, introduisant cette division, de façon assez ironique, comme nostalgie de l'unitĂ© perdue. On peut certes unir l'univers matĂ©riel et le monde de la vie ou de l'information comme sa propre rĂ©flexion mais dans cette sorte de conscience de soi la rĂ©flexion apporte une rupture radicale entre le sujet et l'objet, entre la conscience et le monde qu'elle interroge, entre la finalitĂ© qui inverse le cours du temps en se tournant vers le futur et la causalitĂ© qui nous vient du passĂ©. La vie n'est pas matiĂšre et ne se rĂ©duit pas Ă des rĂ©actions chimiques, ce serait rater le fait que vivre est un processus Ă©volutif d'apprentissage et d'adaptation au milieu. De mĂȘme, l'esprit est une page blanche qui regarde de l'extĂ©rieur et ne se rĂ©duit pas au corps. PensĂ©e et matiĂšre ne sont pas les deux faces d'une mĂȘme rĂ©alitĂ©, ce n'est pas la mĂȘme chose exprimĂ©e de deux maniĂšres diffĂ©rentes mais des rĂ©alitĂ©s incommensurables comme la vĂ©ritĂ© et le savoir. L'information montre en se transmettant qu'elle ne tient pas Ă sa matiĂšre, qui ne se reproduit pas, mais seulement Ă sa forme, qui se reproduit. Mieux, l'information comme improbabilitĂ© s'oppose Ă la probabilitĂ© matĂ©rielle, comme la vie se dĂ©finit par son opposition Ă l'entropie et par sa complexification. Le monde de l'information et de l'esprit n'est pas le monde matĂ©riel ni celui de l'Ă©nergie, et c'est pour cela que le monde de la vie n'est pas celui de la chimie qui lui sert de support. Qu'est-ce que la vie en effet ? C'est la reproduction et l'homĂ©ostasie, la persistance dans l'ĂȘtre et l'Ă©volution par l'information, c'est-Ă -dire la lutte contre la mort et l'entropie grĂące Ă la mĂ©moire de rĂ©actions adaptĂ©es sĂ©lectionnĂ©es par leur performance dans la compĂ©tition pour les ressources et l'adaptation aux modifications de l'environnement. DĂšs lors, comment dire que nous faisons un avec tout l'univers alors que nous nous opposons de toutes nos facultĂ©s Ă sa force de dispersion, comment dire que nous faisons parti de la mĂȘme aventure que le fleuve qui nous entraĂźne quand on remonte pĂ©niblement le courant, quand nous construisons pas Ă pas alors que le temps dĂ©truit tout sur son passage, quand l'improbable et la complexification se rĂ©pandent sur toute la planĂšte alors que tout devrait retourner en poussiĂšre dans l'indiffĂ©rence du probable, l'Ă©galisation des tempĂ©ratures, la surface lisse d'un lac immobile que rien ne viendrait troubler, dans un silence de mort... Non, il n'y a pas unitĂ© de la vie et de la matiĂšre mais sĂ©paration du percipiens et du perceptum, opposition du sujet Ă l'objet comme du prĂ©dateur Ă sa proie mĂȘme si on cherche Ă se fondre dans le dĂ©cor ! Loin d'une contemplation passive de la mĂ©canique cĂ©leste, nous voilĂ plutĂŽt dressĂ©s contre le ciel qui nous condamne sans merci, nostalgie de l'unitĂ© et de la persistance dans l'ĂȘtre qui est un combat perdu d'avance pourtant. Toute vie a quelque chose de tragique qui la dĂ©passe et s'Ă©lance au-delĂ d'elle-mĂȘme. Ce n'est pas un long fleuve tranquille, non, mais bien une lutte incessante et c'est plutĂŽt le poing levĂ© que nous pouvons dĂ©fier l'univers tout entier, vie volĂ©e Ă la mort qui nous ronge, durĂ©e sauvĂ©e du nĂ©ant et que nous aurons fait nĂŽtre pour l'Ă©ternitĂ© malgrĂ© tout ce qui nous renie. Est-ce Ă dire que nous pourrions faire un avec la nature en tant que nature vivante et monde des finalitĂ©s ? On peut certes voir une certaine unitĂ© entre le prĂ©dateur et sa proie mais elle n'est pas sans une hostilitĂ© originelle ! Bien sĂ»r que nous sommes vivants, pas seulement matiĂšre, et solidaires des autres vivants, dĂ©pendants de toute la biosphĂšre, de ses cycles nutritifs et climatiques, de toutes sortes d'Ă©quilibres, de circuits, de flux de matiĂšres et d'Ă©nergie contrĂŽlĂ©es par des flux d'informations. Nous pouvons Ă©prouver lĂ©gitimement le sentiment d'appartenir Ă la grande chaĂźne de la vie. Pourtant tout ce qui nous relie Ă l'ensemble du monde vivant n'empĂȘche pas qu'il y a plus encore qui nous y oppose comme le sujet Ă l'objet Ă la fois d'y apporter la dĂ©vastation et d'en devenir responsables. Ce n'est pas parce que nous devons prendre soin du monde qu'il n'y a pas une sĂ©paration radicale entre nature et culture unis en tant que sĂ©parĂ©s. L'Ă©volution de la vie se fait contre la dĂ©gradation physique et l'aventure de la vie ne se confond donc pas avec l'aventure de l'univers pas plus que notre destin ne se confond avec le destin de l'animal ni avec une introuvable harmonie originaire. La vie humaine n'est pas une vie animale, ce n'est mĂȘme pas une vie sociale, c'est une vie culturelle et politique, dĂ©sir de reconnaissance, dĂ©sir jaloux et besoin d'amour plutĂŽt que satisfaction des instincts et tyrannie des plaisirs, sujet du langage et de l'Ă©nonciation, fascination du rĂ©cit et des mythes, monde symbolique qui a autant d'existence que le monde vivant, s'incarnant dans des institutions, des livres et des rĂ©seaux numĂ©riques dĂ©sormais. La raison ou la folie auxquelles le langage donne accĂšs sont de l'ordre du surmoi, du cerveau inhibiteur, de la maĂźtrise des instincts animaux par une rĂ©flexion supĂ©rieure rationalisante et formĂ©e par un long apprentissage oĂč se rĂ©capitule toute l'histoire humaine. L'homme s'arrache Ă l'animalitĂ©, il s'en distingue explicitement, le revendique, question de dignitĂ©. La vie est dĂ©jĂ rĂ©gie par l'information et la mĂ©moire mais le langage introduit une nouvelle rupture par une sorte de radicalisation. En amĂ©liorant simplement la transmission de l'information et sa mĂ©moire cumulative, il multiplie les signes et donne vie au monde de l'esprit. Le monde des discours impose son existence bien qu'il soit en dehors du monde de la vie jusqu'Ă en perturber les Ă©quilibres vitaux. Il est remarquable que cette domination technique sur le monde trouve son origine dans la matĂ©rialisation de la pensĂ©e et du savoir dans un langage. Si le langage nous donne un nom, une place, une identitĂ© et nous relie, il nous divise tout autant entre sujet de l'Ă©noncĂ© et sujet de l'Ă©nonciation. LĂ encore, un se divise en deux. Sommes nous unis au moins Ă tous les hommes comme l'humanisme nous l'enseigne ? Tous ? Non, sinon de façon abstraite car la rĂ©alitĂ© est celle des luttes qui nous opposent sans rĂ©pit entre gauche et droite, dominants et dominĂ©s sinon entre homme et femme qui se dĂ©chirent. Le diable continue le travail du nĂ©gatif introduisant la division partout. Il y a une solidaritĂ© rĂ©elle entre nous, qui ne dĂ©pend pas de ce qu'on en pense, mais il y a aussi des divisions profondes entre classes, sexes, religions ou localitĂ©s, divisions qui ne peuvent ĂȘtre refoulĂ©es sans dommage mĂȘme si elles peuvent ĂȘtre dĂ©passĂ©es ponctuellement. Pire, il n'y a pas du tout d'unitĂ© substantive avec le collectif tout au plus identification au leader car, la plupart du temps, c'est l'ennemi ou le concurrent qui fait le collectif de l'extĂ©rieur et non une identitĂ© partagĂ©e, une essence individuelle ni une reconnaissance mutuelle supposĂ©e, ni mĂȘme les liens d'amitiĂ©s qui en dĂ©coulent. Le collectif peut certes se constituer idĂ©alement sur un objectif Ă atteindre, en faisant Ă©quipe, mais les tensions intĂ©rieures ne peuvent ĂȘtre gommĂ©es que par des tensions extĂ©rieures. S'il est absolument crucial de reconnaĂźtre l'importance du collectif, cela ne doit pas gommer ce que l'individu peut avoir d'irrĂ©ductible au collectif et s'aveugler par l'enthousiasme excessif de tout groupe en fusion. Il faut bien se rassembler pour renverser l'ordre ancien, mais pas pour retrouver une prĂ©tendue unitĂ© originelle indiscutable ni des liens idĂ©aux, et d'autres configurations peuvent justifier d'autres alliances oĂč les amis d'hier deviennent les adversaires de demain. C'est inĂ©vitable dĂšs lors qu'il n'y a pas de nature humaine ni de vĂ©ritĂ© donnĂ©e et qu'on doit se dĂ©cider en l'absence d'informations suffisantes et en fonction de rapports de force politiques. Il faut occuper ce lieu non de l'union de tous mais de la division, de l'expression du nĂ©gatif, des contradictions effectives, de la transformation du monde et de la lutte contre ses injustices qui suffit Ă nous mobiliser. On a raison de se rĂ©volter mais il ne suffit pas de se rĂ©volter pour avoir raison et passer d'une erreur Ă l'autre. Comme dit Pascal "l'erreur n'est pas le contraire de la vĂ©ritĂ©. Elle est l'oubli de la vĂ©ritĂ© contraire". Notre rĂ©alitĂ© est bien celle d'un matĂ©rialisme spirituel, dialectique. Il faut tenir compte de ses deux faces, tenir compte de la contradiction entre individu et collectif non pas l'Etat ou le marchĂ© mais l'Etat et le marchĂ©, la dĂ©mocratie et le mouvement social. Le sujet c'est toujours le perturbateur, qui se pose en s'opposant, l'exception Ă la rĂšgle. Le dĂ©mon de la division donne malgrĂ© tout une partie de la rĂ©ponse sur ce qu'il faut faire, Ă l'opposĂ© des constructions utopiques forcĂ©ment totalitaires de par leur caractĂšre unilatĂ©ral et uniformisant. Le prĂ©alable, en effet, c'est de reconnaĂźtre la pluralitĂ© des systĂšmes, ce que Jacques Robin appelait une Ă©conomie plurielle et qui a toujours existĂ©, au moins sous forme d'Ă©conomie mixte. Cela veut dire pratiquement qu'il ne faut pas tant viser la fin du capitalisme globalisĂ© que l'empĂȘcher de monopoliser la place et commencer Ă organiser sa sortie en construisant des alternatives locales, en ouvrant le champ des possible, dans la pluralitĂ© des valeurs, des rĂŽles sociaux et des modes de vie, Ă l'opposĂ© d'un homme nouveau normalisĂ© et bien plus que ce que peut permettre le libĂ©ralisme. VoilĂ qui implique une toute autre stratĂ©gie de rĂ©seaux et d'action collective sans avoir besoin de centralitĂ© mais avec des collectifs locaux des coopĂ©ratives et des monnaies locales reliĂ©s par des circuits alternatifs. Bien sĂ»r, il faut mettre une limite au dĂ©mon de la division et Ă notre dispersion infinie en reconnaissant la nĂ©cessitĂ© d'organisations collectives du fait de l'existence de systĂšmes dont nous dĂ©pendons, de totalitĂ©s effectives, de circuits d'Ă©nergie, de matiĂšre et d'informations qui les contrĂŽlent, de contraintes systĂ©miques enfin, ce qui n'est pas en faire des systĂšmes totalitaires dĂšs lors qu'il y en a plusieurs et qu'ils disposent d'une autonomie relative et de leur fonctionnement propre. L'unification paranoĂŻaque de tous les systĂšmes dans un mĂ©gasystĂšme est une absurditĂ©, une vue de l'esprit, une pure abstraction aussi impossible que l'ensemble de tous les ensembles ou mĂȘme qu'un capitalisme monopolistique sans concurrence ni divisions internes ! Ce n'est pas non plus parce qu'ils sont intĂ©grĂ©s dans le mĂȘme corps qu'on pourrait identifier systĂšme sanguin, systĂšme immunitaire et systĂšme nerveux qui sont bien diffĂ©renciĂ©s. Ce n'est en rien un effet imaginaire de les distinguer alors que les confondre serait nier l'organisation qui les fait converger dans l'action commune. De mĂȘme, les niveaux de rĂ©alitĂ© sont bien rĂ©els, tout comme les effets de surface. La peau sĂ©pare rĂ©ellement comme toute membrane. Il n'y a pas un seul bloc unifiĂ© et indiffĂ©renciĂ©, mais diffĂ©rentes totalitĂ©s d'individus et d'organisations avec des degrĂ©s variables d'autonomie et des ruptures de causalitĂ©. Dans ce monde divisĂ©, pouvons-nous encore nous imaginer participer Ă l'aventure humaine, nous rĂ©clamer de l'histoire collective et d'un avenir commun ? D'une certaine façon, si l'on peut dire, mais seulement en se rĂ©fĂ©rant Ă une "tradition rĂ©volutionnaire" contradictoire dans les termes car il ne s'agit pas tant d'aller dans le sens de l'histoire, pour cela nul besoin de nous, que de rĂ©sister Ă chaque fois aux dĂ©rives de notre temps et refuser l'inacceptable, corriger ses erreurs, donner sens au non-sens du monde, tĂ©moigner de notre inadĂ©quation Ă l'universel et de la dysharmonie de l'existence, de l'Ă©chec de la communication, de l'absence de dialogue. La vraie vie est absente en dehors des mirages de l'amour qui se termine mal, en gĂ©nĂ©ral. Il n'y a pas de fin de l'aliĂ©nation ni de fin de l'histoire, seulement des problĂšmes Ă rĂ©gler, des torts Ă redresser, des Ă©quilibres Ă rĂ©tablir, des opportunitĂ©s Ă saisir, des catastrophes Ă Ă©viter. Ce parti du nĂ©gatif qui est celui de l'Ă©cologie et de la raison est bien plus constructif que le parti du positif et de l'utopie ne reculant devant aucune destruction pour forcer la rĂ©alitĂ© Ă se conformer Ă ses rĂȘves cauchemardesques. Bien sĂ»r, on a besoin de finalitĂ©s collectives, d'espĂ©rance et de l'expression de notre solidaritĂ©, mais il ne faut jamais en faire trop, la dĂ©ception n'en serait que plus grande. Il vaut mieux revenir Ă nos divisions bien rĂ©elles, au quotidien et au local, Ă la rĂ©appropriation de leurs pratiques par les acteurs eux-mĂȘmes, partir de ce qui ne marche pas. Il y a dĂ©jĂ fort Ă faire Ă crĂ©er des possibilitĂ©s nouvelles, donner des alternatives lĂ oĂč il n'y en avait pas, sans devoir promettre une humanitĂ© mĂ©tamorphosĂ©e ni une sociĂ©tĂ© idĂ©ale oĂč tous les coeurs s'uniraient alors qu'il faudrait admettre nos dissensus, irrĂ©ductibles, et nos propres limites, irrĂ©parables. Tout n'est pas nĂ©gociable, il y a de l'incompatible, des diffĂ©rences radicales, on ne peut s'allier avec n'importe qui, dans n'importe quelles circonstances. C'est avec tous ces gens diffĂ©rents qu'il faut bien faire sociĂ©tĂ© pourtant mais il n'y a pas que l'Un, il y a l'Autre aussi. Un parti se prouve comme le parti vainqueur seulement parce qu'il se scinde Ă son tour en deux partis. En effet, il montre par lĂ qu'il possĂšde en lui-mĂȘme le principe qu'il combattait auparavant et a supprimĂ© l'unilatĂ©ralitĂ© avec laquelle il entrait d'abord en scĂšne. L'intĂ©rĂȘt qui se morcelait en premier lieu entre lui et l'autre s'adresse maintenant entiĂšrement Ă lui, et oublie l'autre, puisque cet intĂ©rĂȘt trouve en lui seul l'opposition qui l'absorbait. Cependant en mĂȘme temps l'opposition a Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans l'Ă©lĂ©ment supĂ©rieur victorieux et s'y reprĂ©sente sous une forme clarifiĂ©e. De cette façon, le schisme naissant dans un parti qui semble une infortune manifeste plutĂŽt sa fortune. Hegel, PhĂ©nomĂ©nologie de l'Esprit.
L'amour d'une maman ne se divise pas, il se multiplie" Je la trouve hyper belle, cette phrase. C'est imagé, et c'est tellement vrai. L'amour d'une maman n'est pas un gùteau qu'on
Bienvenue Ă la Halte au foyer Les histoires du coeur Vous y trouverez des trĂ©sors du coeur dont l'amour, la paix et l'espĂ©rance Ă travers des histoires vraies, des histoires de l'Ăąme et de la vie. Je vous invite Ă prendre le temps, ne serait-ce que 5 minutes. Le temps d'arrĂȘter et de prendre soin de votre intĂ©rieur, de votre coeur. Venez vous rĂ©chauffer et laissez-vous bercer par les vagues de la vie. indique les nouveautĂ©s Ce qui est merveilleux avec l'Amour, c'est qu'il ne se divise pas... Il se multiplie. Copyright © [ Les trĂ©sors de Catherine ] Tous droits rĂ©servĂ©s
Lamour pour nos racines, câest comme pour nos enfants, il ne se divise pas mais au contraire, il se dĂ©multiplie. Aujourdâhui avec cette attitude, jâai mĂȘme plusieurs patries, dont la Sicile avec la force de ses volcans, Shanghai avec son dynamisme hors du commune et lâEcosse dont les paysages ressemblent beaucoup Ă mes montagnes.
Update Ce texte a Ă©tĂ© Ă©crit il y a plus 22 mois. Ma petite aura bientĂŽt deux ans et je peux dĂ©finitivement vous confirmer quâelle est montĂ©e trĂšs vite rejoindre sa soeur dans le podium de mon coeur. Par contre non, je nâai toujours pas oubliĂ© la douleur de lâaccouchement. *** Lâamour ne se divise pas, il se multiplie. Toute future maman dâun deuxiĂšme enfant a entendu ce dicton pour le moins rassurant quand, prise de doutes, elle ose demander si le second enfant sera autant aimĂ© que le premier. Jâai toujours cru que câĂ©tait une phrase un peu trop bien ficelĂ©e, qui tourne un peu les coins ronds. Un peu comme quand on balaie la douleur de lâaccouchement du revers de la main, clamant On oublie tout Ă la minute quâils sont dans nos bras». Deux semaines post-partum, je vous le confirme Non, je nâai pas oubliĂ© la douleur de lâaccouchement. Et non, je nâaime pas Ă©galement mes deux filles. Du moins, pas encore. Ăa ne mâinquiĂšte pas plus que ça. Pour moi, le contraire aurait Ă©tĂ© Ă©tonnant. AprĂšs tout, ma premiĂšre a Ă©tĂ© le centre de mon univers pendant plus de trois ans. Sa grossesse a Ă©tĂ© ponctuĂ©e de cours prĂ©nataux, de tableaux Pinterest pour des dĂ©cos de chambre, dâun Ă©norme baby shower, de magasinage intensif, dâapplications Iphone dĂ©taillant lâĂ©volution du fĆtus. Ma deuxiĂšme grossesse elle, je lâai passĂ©e Ă courir aprĂšs un terrible-two chantant Let it go Ă tue-tĂȘte. Outre ces considĂ©rations matĂ©rielles, ma premiĂšre mâa propulsĂ©e vitesse grand V dans un tourbillon dâĂ©motions dont je ne soupçonnais mĂȘme pas lâexistence. De baby blues Ă rires hystĂ©riques, jâai Ă©tĂ© prise de court par cet amour aussi puissant quâinconditionnel surgissant du fin fond de mes entrailles. Ma vie, mes valeurs, mes objectifs, ma vision du monde tout a Ă©tĂ© chamboulĂ©. Trois ans plus tard, je suis beaucoup plus sereine dans ce nouveau chapitre de la maternitĂ©. Plus heureuse, aussi. Lâamour est moins foudroyant, mais plus assurĂ©, plus apaisant. Mes inquiĂ©tudes sont moins superficielles. Ce que je ressens pour mon nouveau-nĂ© aujourdâhui, câest un solide instinct de protection. Câest une fiertĂ© incroyable. Câest une gratitude infinie pour ce trĂ©sor que je crois Ă peine mĂ©riter. Et tous les jours, lâamour que je ressens pour elle grandit, sâaffirme et sâĂ©panouit. Un peu plus haut, un peu plus fort. Un jour, une courte nuit Ă la fois. Et je ne mâinquiĂšte pas trĂšs bientĂŽt, elle viendra rejoindre sa grande sĆur sur la premiĂšre marche du podium de mon cĆur. Quant Ă la douleur de lâaccouchement, elle finira Ă©galement par fondre dans le brouillard de ma mĂ©moire. Et je finirai par dire moi aussi, que ce nâĂ©tait pas si pire que ça⊠!
Ne laissez personne venir Ă vous sans qu'il vous quitte meilleur et plus heureux. » « La vie est un rĂȘve, fais en une rĂ©alitĂ©. » « Ce qui compte ce n'est pas ce que l'on donne, mais l'amour avec lequel on donne. » « Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. » « Quand la souffrance s'abat sur nos vies, il
[Bigflo & Olympe Chabert]C'est comme un vieux refrain que j'aurais trop chantĂ©Comme une belle chanson qu'ils auraient trop Ă©coutĂ©Remets-le encore [Bigflo & Olympe Chabert]Comme disait LĂ©o "Avec le temps, tout s'en va, tout s'en va"Une semaine chacun, nous, on s'en contenteraIls dansent leur tango mmh mais leur tempo mmhDiffĂ©rents un, deux, trois, quatre, un, deux, trois, quatreLe chef d'orchestre mmh, c'Ă©tait l'amour mmh, il est parti depuis longtĐ”mps un, deux, trois, quatre, un, deux, trois, quatrĐ”Le temps nous laisse que les dĂ©fauts, le temps nous laisse que les dĂ©fauts et un jour, il les reprendraJ'entends encore leurs cris tous les soirs quand je m'endorsOn sera le souvenir du moment oĂč ils s'aiment encore[Refrain Olympe Chabert]Tant pis ou tant mieuxTant pis ou tant mieux[Oli & Olympe Chabert]Texto j'ai encore une valise de tes affairesRĂ©ponse t'as qu'Ă la dĂ©poser chez ma mĂšreTexto est-ce qu'on fait NoĂ«l tous ensemble comme avant ?Texto je sais qu'c'est ta semaine, mais pense aux enfantsJe levais la main quand on m'posait la questionJ'ai grandi dans tes chants d'engueulade et des montagnes de rĂ©flexionsTu diras Ă ton pĂšre qu'il arrĂȘte de me narguerTu diras Ă ta mĂšre qu'elle vienne elle-mĂȘme en parlerSymphonie de cris mmh, exĂ©cutĂ©e sans rĂ©pĂ©tition mmhLe bruit des couverts et le son de la tĂ©lĂ©visionJ'l'ai vue se dissoudre mmh, s'effacer au ralenti mmhC'Ă©tait ce coup d'foudre qui a allumĂ© l'incendiePlein d'choses que je regrette ? Je m'rends compte en racontantAprĂšs la pluie vient la tempĂȘte, c'est quand qu'arrive le beau temps ? MmmhChemin parsemĂ© d'embĂ»ches mais on a manquĂ© de rienJe crois, comme si on recevait en plus tout l'amour qui n'se donnait pas un, deux, trois, quatre, un, deux, trois, quatreAllez, c'est comme ça[Refrain Bigflo & Oli, Olympe Chabert]Tant pis ou tant mieuxNananananaTant pis ou tant mieuxNanananana[Bigflo & Oli, Olympe Chabert]L'amour ne se divise pas, il se multiplieChacun refait sa vie mais on reste une familleOn s'aimera encore plus, on s'aimera encore mieuxL'amour gagne toujours, l'amour gagne toujoursL'amour ne se divise pas, il se multiplieChacun refait sa vie mais on reste une familleOn s'aimera encore plus, on s'aimera encore mieuxL'amour gagne toujours, l'amour gagne toujoursMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmhMmh, mmh, mmh, mmh
Ellemâa expliquĂ© que lâamour dâune mĂšre ne se divise pas, mais quâil se multiplie pas besoin de portions Ă©gales, lâamour se multiplie simplement, si on le laisse faire. Lâamour de Dieu ne
Cette magnifique phrase sort de la bouche d'un pĂšre. Un pĂšre adoptif, qui avec sa femme, a accompagnĂ© sa fille Marie dans la recherche de ses origines, jusqu'Ă la rencontre de celle qui lui a donnĂ© la vie. Et la mĂšre de rajouter "Je me souviens quand adolescente, elle a commencĂ© Ă se poser des questions. Je m'Ă©tais dit que le plus beau cadeau que je puisse faire Ă Marie, c'est de retrouver sa mĂšre biologique." Et c'est cette histoire que raconte le reportage, diffusĂ© il y a quelques jours dans le journal de France 2, que je vous invite Ă visionner. J'ai Ă©tĂ© trĂšs touchĂ©e par ce reportage et particuliĂšrement par l'attitude des parents qui ont su remettre en question leur rĂŽle et leur place pour accompagner leur enfant dans ses questionnements et dans la quĂȘte de ses racines. Peut-ĂȘtre un peu admirative aussi, parce que mĂȘme si je suis convaincue que les parents que nous serons se devront d'ĂȘtre attentifs aux questionnements, d'exposer les possibilitĂ©s offertes et de faire le nĂ©cessaire pour encadrer les dĂ©marches, sans les devancer ni les contraindre, personne ne peut dire, sans y avoir Ă©tĂ© confrontĂ©, s'il saurait rĂ©agir avec tant de bienveillance... J'ai Ă©galement apprĂ©ciĂ© la brĂšve intervention d'Elvia, la sĆur de Marie, elle-aussi adoptĂ©e, qui explique qu'elle n'a pas souhaitĂ© entamĂ© de dĂ©marches, mettant ainsi en avant que la recherche des origines est propre Ă chaque enfant et surtout, Ă chaque histoire. A regarder, et mĂ©diter donc.
Lamour se multiplie, il ne se divise pas Adventure. Manon, jeune fille de 9 ans, est un peu perdue au sein de sa "trop grande" famille recomposĂ©e. Un soir, tandis que tout le monde dort, elle envisage aventure famille magie. Chapitre 6. 9 0 0 By ireneamiot. AprĂšs avoir aidĂ© Ă rentrer les animaux dans lâĂ©table, Manon suivit les enfants jusquâĂ la cuisine dâĂ©tĂ©. Leur maman
LaĂŻa Dabri est curieuse. Hors de question pour elle de ne se cantonner qu'Ă un genre d'Ă©mission Ă la tĂ©lĂ©vision. De Touche pas Ă mon poste aux Marseillais ou au Journal TĂ©lĂ©visĂ©, il n'y a qu'un pas qu'elle n'hĂ©site jamais Ă franchir. Embarquez dans son univers oĂč mĂȘme les sĂ©ries en tout genre ont leur place. Fin du mystĂšre. Ce mardi 7 septembre 2021, la candidate de "Familles nombreuses" a fait de belles rĂ©vĂ©lations. Sur Instagram, MĂ©lanie Gonzalez a partagĂ© le sexe, le prĂ©nom et le visage de son huitiĂšme enfant. MĂ©lanie Gonzalez a vĂ©cu une rentrĂ©e particuliĂšre cette annĂ©e. La candidate de Familles nombreuses, la vie en XXL TF1 a donnĂ© naissance Ă son huitiĂšme enfant le 3 septembre 2021. Et il a fallu attendre ce mardi 7 septembre 2021 pour dĂ©couvrir le visage, le sexe et le prĂ©nom du bĂ©bĂ©. La famille Gonzalez s'est une fois de plus agrandie il y a quelques jours. Samedi dernier, MĂ©lanie a rĂ©vĂ©lĂ© qu'elle venait d'accoucher de son huitiĂšme enfant et que tout s'Ă©tait bien passĂ©. "Il est en pleine santĂ©, l'allaitement se passe trĂšs bien. Moi, je suis en pleine forme aussi", Ă©crivait-elle. Mais ce jour-lĂ , la maman de Margot, Nino, Paolo, Elio, Hugo, Malo et ClĂ©o n'avait pas souhaitĂ© en dĂ©voiler davantage sur son nouveau-nĂ©. De quoi attiser la curiositĂ© de ses abonnĂ©s. Les internautes n'ont heureusement pas eu Ă attendre trop longtemps pour dĂ©couvrir le joli minois du bĂ©bĂ©. MĂ©lanie Gonzalez a postĂ© une photo sur laquelle il est endormi sur sa maman. Cette derniĂšre fixe quant Ă elle l'objectif. "Voici une petite photo de notre petit Marceau. Une de vie et dĂ©jĂ tellement d'amour... Petit Marceau est nĂ© vendredi 3 septembre Ă 7h07 pour un poids de 3 kg 320 et 50 cm. Une nouvelle vie Ă 10 commence. L'amour ne se divise pas il se multiplie", peut-on lire en lĂ©gende de la publication. En story, la belle blonde a Ă©galement dĂ©voilĂ© une photo de Marceau dans les bras de son papa, puis confortablement installĂ© dans son siĂšge-auto, en route pour l'Ă©cole de Paolo et ClĂ©o. "Petit bĂ©bĂ© mystĂšre est dĂ©couvert maintenant. C'est un petit garçon, nous sommes tous trĂšs contents. Toute la fratrie voulait un petit garçon", a-t-elle notamment confiĂ© une fois tous ses enfants dĂ©posĂ©s. Et elle n'a pas manquĂ© de remercier ses fans pour leurs messages bienveillants. Abonnez-vous Ă Purepeople sur facebook
Nanananana Tant pis ou tant mieux. Nanananana. [Outro : Bigflo & Oli, Olympe Chabert] L'amour ne se divise pas, il se multiplie. Chacun refait sa vie mais on reste une famille. On s'aimera encore plus, on s'aimera encore mieux. L'amour gagne toujours, l'amour gagne toujours. L'amour ne se divise pas, il se multiplie.
ï»żUne citation de Ray Flex. L'Amour ne se divise pas, il se multiplie RĂ©flexion personnelle - Ray Flex Citation proposĂ©e le dimanche 07 mars 2021 Ă 152400Citations similaires Ătre n'est pas avoir RĂ©flexion personnelle - Ray FlexLe Pardon nous rend Indestructible !! RĂ©flexion personnelle - Ray Flex Votre commentaire sur la citation de Ray Flex Ray Flex - Ses citations L'Amour ne se divise pas, il se multiplie ... - Ray Flex Citation d'internaute - Contribution personnelle.
Tuas mis Ă lâĂ©preuve ceux qui se prĂ©tendent apĂŽtres sans lâĂȘtre, et tu les as trouvĂ©s menteurs. 3 Oui, tu as de la persĂ©vĂ©rance, tu as souffert Ă cause de mon nom et tu ne t'es pas lassĂ©. 4 Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonnĂ© ton premier amour. 5 Souviens-toi donc d'oĂč tu es tombĂ©, repens-toi et pratique tes
- - =S My life is complicated. my life is complicated. My life is complicated. my life is complicated. My life is complicated. my life is complicated. My life is complicated. my life is complicated. My life is complicated. my life is complicated. My life is complicated. my life is complicated. L . . . but I love you and it is happiness - - Oublies ton PassĂ©, Qu`il soit simple Ou composĂ©, PaŃticipe Ă ton PŃesent & ton FutuŃ seŃa plus Que paŃfait . . . - -
Votrepremier enfant se sent sĂ»rement fier de devenir bientĂŽt grand frĂšre ou grande sĆur mais Ă©galement un peu angoissĂ© Ă lâidĂ©e de devoir partager ses parents. Et câest parfaitement normal. Pour le·la rassurer, expliquez-lui que lâamour ne se divise pas mais se multiplie. Une expĂ©rience est toujours plus parlante que des mots.
Liane Lazaar est rĂ©dactrice web rattachĂ©e au pĂŽle TV de Elle connaĂźt autant le parcours de Jean-Pierre Pernaut sur TF1 que les derniers rebondissements des candidats de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© et a un goĂ»t prononcĂ© pour les histoires de coeur. Les critiques fusent autour de la famille Van Der Auwera, au casting de "Familles nombreuses, la vie en XXL" sur TF1. La tribu de 13 membres ne se laisse toutefois pas faire et a adressĂ© un message bien senti aux haters. C'est LE programme qui fait beaucoup parler ces derniers jours. Du lundi au vendredi, sur TF1, est diffusĂ© Familles nombreuses, la vie en XXL. Il s'agit d'un docu-rĂ©alitĂ© qui se consacre Ă une poignĂ©es de couples qui ont dĂ©cidĂ© d'avoir toute une ribambelle d'enfants. Alors que l'Ă©mission rencontre un joli succĂšs, les candidats, eux, subissent le retour de bĂąton de certains internautes. En effet, il n'est pas rare que certaines familles se retrouvent Ă ĂȘtre victimes de commentaires trĂšs dĂ©sagrĂ©ables sur les rĂ©seaux sociaux. Les Pellissard ont par exemple Ă©tĂ© pointĂ©s du doigt pour les nombreuses allocations qu'ils perçoivent et les Santoro ont Ă©tĂ© jugĂ©s pour former une famille "trop parfaite". C'est au tour des Van Der Auwera de s'attirer les foudres des haters. Les parents Cindy et SĂ©bastien ont de quoi marquer les esprits avec leurs 11 enfants et leur foyer peuplĂ© de plus de 60 animaux ! Un mode de vie pour le moins original qui ne plaĂźt pas Ă tout le monde. Sur Instagram, la joyeuse famille a donc tenu Ă rĂ©pondre aux critiques de la meilleure des maniĂšres. "Le chiffre 13 est souvent mal jugĂ©. Chez nous il est signe de Bonheur, Bonne humeur, Rire, Joie, Amour, Passion, Partage, ComprĂ©hension, Entraide, SolidaritĂ©, Ăcoute... Et tout cela multipliĂ© par 13 car oui ici tout se multiplie et ne se divise pas", lit-on sur leur dernier post. Et pour eux d'ajouter "Alors n'en dĂ©plaise Ă certains, oui... quoi qu'il en soit nous savons ce que nous valons et nous ne changerons pas car c'est NOTRE VIE, c'est NOTRE CHOIX. Les mauvaises langues continuez Ă parler de choses que vous ne maitrisez et ne connaissez pas car Ă moins de ne faire partie de notre vie, de notre famille, je ne vois pas comment vous pouvez parler de choses et d'autres... Bref, une chose est sĂ»re nous continuerons Ă apporter tout ce que nous apportons chez nous mais aussi autour de nous car c'est notre façon d'ĂȘtre. ... Les autres critiqueurs, mĂ©disants, mĂ©chants...PASSEZ VOTRE CHEMIN vous perdez votre temps". Ă bon entendeur. Familles nombreuses, la vie en XXL du lundi au vendredi Ă 17h15 sur TF1 Abonnez-vous Ă Purepeople sur facebook
L'amour ne se divise pas, il se multiplie." Cette magnifique phrase sort de la bouche d'un pÚre. Un pÚre adoptif, qui avec sa femme, a accompagné sa fille Marie dans la
"J'ai 27 bonbons dans mon sac. Je rencontre 4 amis. Si je veux partager Ă©galement mes roudoudous, combien chacun pourra-t-il en obtenir ?"Ceux qui n'ont pas la "bosse des maths" comme on dit, mĂ©langent les 4 opĂ©rations de base et se retrouvent avec un rĂ©sultat faramineux, digne des petits pains et des poissons de la colline apostolique. Addition, soustraction, Multiplication, division c'est pourtant simple."Un peu de bon sens voyons ! s'entendent-ils rĂ©partir. Tu sais bien que quand on partage, on divise. La preuve, quand ta petite soeur et ton petit frĂšre se partagent tes jouets, tu n'en as presque plus !"Cette phrase est bel et bien la source du problĂšme. Fractale la partie est le tout et vice-versa Le calcul au quotidienAmateurs de choux, de carottes, de pommes et de scoubidous, vous avez Ă©tĂ© tentĂ© d'ajouter toute une imagerie aux chiffres vĂ©cus comme froids et silencieux, voire obscurs et partir de "3+8+5 = ?", vous imaginez 3 patates+ 8 petits pois +5 carottes = ? lĂ©gumesc'est Ă -dire une belle macĂ©doine. Tout ça a l'avantage de tenir dans un grand sac, soit vos 16 lĂ©gumes du marchĂ©, tous dans le mĂȘme panier. LĂ , on peut corser l'affaire en dĂ©cidant de partager les courses, entre plusieurs familles par exemple. Auquel cas, on rĂ©partit les emplettes dans plusieurs sacs, plus se dĂ©pĂȘche de modĂ©liser le raisonnement grĂące aux fameux problĂšmes de la primaire. C'est une vĂ©ritĂ© gĂ©nĂ©ralement admise, presqu'un tu partages, tu en as moins pour un aphorisme un peu crispĂ© qui ne laisse guĂšre prĂ©sager l'avĂšnement de la solidaritĂ© entre les peuples. Ainsi donc, le partage "rĂ©ducteur" fonctionne pour les choses les objets, les machines, les trucs, les bidules, etc. l'argent les euros, les cents, les roubles, les dinars; l'espace, le terrain de foot, le siĂšge de bus, la place de parking, le jardin potager. le temps les rendez-vous, les allocutions, les plannings. MĂȘme si ces aspects sont vĂ©cus comme essentiels, ils ne reprĂ©sentent pourtant que l'Ă©mergence de notre vie. La part immergĂ©e de notre iceberg personnel fonctionne autrement, il faut le reconnaĂźtre. Je dirai mĂȘme en opposition diamĂ©trale. En-deça et au-delĂ des limites physiques et terrestres, le raisonnement mathĂ©matique ne fonctionne plus. Couper le gĂąteau en 8, ça va encore... mais en 13, c'est trĂšs difficile. Quant Ă partager son amour, c'est impossible. Tout bonnement. Calculer le vivant, ça existe ?"Eh ben dis donc, tu ne l'as pas calculĂ©e, elle doit bouillir Ă l'heure qu'il est !" "AprĂšs ce qu'il m'a fait, je ne le calcule mĂȘme plus" Ou encore depuis la colonisation Gps "En ce moment, je dois me recalculer."Chaque rencontre humaine s'inscrit dans l'Ă©change prendre/donner, voir/montrer, s'exprimer/imprimer Ă©couter, lancer/recevoir, inspirer/expirer. Ce qui est partagĂ© se multiplie instantanĂ©ment proportionnellent au nombre de partage "multiplicateur" fonctionne pour... les gens !Les comportements le sourire, le sĂ©rieux, la tristesse, le stress, les embrassades, Ă©motions peur, colĂšre, joie, sĂ©rĂ©nitĂ© et tout ce que vous avez sur le idĂ©es, d'oĂč l'Ă©ventualitĂ© des "Think Tanks"Avec ça, vous pouvez toujours essayer de diviser une personne. Aucune chance. On est on ou on est off. On/ vous accorde que les manifestations de ces phĂ©nomĂšnes ne sont pas toujours absolument synchrones, ce qui brouille un peu les pistes. Mais tout de mĂȘme. GĂ©omĂ©trie projective les parallĂšles se croisent Ă l'infini. La double puissance du partageSi je tire les consĂ©quences de mon raisonnement, je vois bien que cette double force est Ă mon entiĂšre je peux "objectiver" le plus possible ce qu'il faut diminuer et "humaniser" ce qu'il faut exemple, diffuser autour de soi ce qu'on veut du temps ? Commencez par en donner. De l'abondance ? La clĂ©, c'est l'investissement tous les joueurs de Monopoly le savent, surtout ceux de la Rue de la Paix. De l'amour ? l'inverse, et Descartes ne me contredira pas pour d'Ă©videntes raisons, diviser la peine, dĂ©ctiquer la tĂąche, Ă©crire des listes, se dĂ©tacher du superflu, se dĂ©lester de tout ce qui nous pĂšse et nous encombre. Ce que prendront les autres ne sera plus Ă faire. Partager son chagrin, c'est dĂ©jĂ se demander quel petit bout peut s'abandonner aux oreilles attentives. Et de petit bout en petit bout, de petit pas en petit pas, on en fait du chemin ! La lenteur de l'escargot fait oublier qu'il glisse avec une grande efficacitĂ©. OpĂ©rations de base dans la vieL'additionAccumuler des objets autour de soi, c'est soustraire le mouvement, multiplier les tĂąches et diviser l' l'aide de son prochain, c'est allĂ©ger le poids de la responsabilitĂ©, multiplier les itinĂ©raires et rĂ©duire le temps soustractionĂcarter des solutions, c'est s'ajouter des contraintes, multiplier sa lassitude, diviser son dĂ©barrasser des choses devenues inutiles, c'est augmenter l'espace, s'ajouter de la libertĂ©, rĂ©partir son attention au plus multiplicationMultiplier les stratĂ©gies, les calculs et les manipulations pour s'approprier des choses, c'est se diviser soi-mĂȘme, s'interdire de franches relations et accumuler des les rencontres, c'est augmenter ses chances de bonheur, se soustraire aux angoisses et diviser ses divisionĂconomiser son Ă©nergie dans les relations aux autres, c'est se priver du sel de la vie, multiplier les barriĂšres et s'ajouter un ses sentiments, c'est se soustraire aux angoisses morbides, multiplier les solutions possibles, ajouter des couleurs Ă l'existence. Les opĂ©rations de base sont les diffĂ©rents points de vue du mĂȘme problĂšme. Peut-ĂȘtre que ceux qui n'ont pas la "bosse des maths" ont le sens de la vie, en rĂ©alitĂ©.
Cest ce qui divise les hommes qui multiplie leurs diffĂ©rends. Pierre Dac se fait connaĂźtre dans les annĂ©es 1930 Ă la radio sur le Poste Parisien et anime dĂšs 1936 La Course au trĂ©sor : il s' Vos avis (8) : ses autres citations âA lâinverse des hommes, lâocĂ©an se retire pour que la mer garde ses poissons.â De Pierre Dac. Vos avis. Votre note : +-Toutes les citations
Ce dictionnaire contient 66 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe diviser Il est absurde de diviser les gens en bons et en mauvais. Les gens sont ou bien charmants ou bien ennuyeux. Oscar Wilde ; Les aphorismes et pensĂ©es 1854-1900 Pour les femmes du monde d'aujourd'hui, les hommes se divisent en hommes de jour et en hommes de nuit. Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Diviser son temps pour mieux avancer un remĂšde et un allĂšgement. XimĂ©nĂšs Doudan ; Les pensĂ©es, essais et maximes 1880 Avec notre division Ă outrance du travail, l'homme, cette crĂ©ature raisonnable, n'est plus mĂȘme une machine, il est un rouage. Gustave Vapereau ; L'homme et la vie 1896 On peut juger des progrĂšs de la politique et de la religion dans une sociĂ©tĂ© Ă la profondeur des divisions qu'elles produisent. Gustave Vapereau ; L'homme et la vie 1896 Les malentendus divisent plus profondĂ©ment les hommes que les dissentiments. Gustave Vapereau ; L'homme et la vie 1896 Sous prĂ©texte de plaindre et de consoler que de bons amis brouillent les mĂ©nages ! Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ćuvres 1913 La diffĂ©rence des opinions divise plus encore que celle des goĂ»ts, car rien n'est plus intolĂ©rant que l'esprit. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ćuvres 1913 La division anĂ©antit tout les individus se perdent par l'Ă©goĂŻsme moral, et les peuples pĂ©rissent par l'Ă©goĂŻsme politique. Louis-Philippe de SĂ©gur ; Les pensĂ©es, maximes et rĂ©flexions 1823 L'humanitĂ© se divise en deux parts bien inĂ©gales d'un cĂŽtĂ© les natures d'Ă©lite et de l'autre cĂŽtĂ© tout le monde. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 La tyrannie ne peut s'introduire, ni se maintenir, qu'en semant parmi les citoyens la division, mĂšre de la faiblesse. Aristote ; Les discours de morale - IVe s. av. Divise pour rĂ©gner profonde parole ! Unis pour gouverner meilleure garantie. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et rĂ©flexions 1749-1832 L'argent qui pourrit tout, nous divise et nous fait nous haĂŻr. Marie-Claire Blais ; L'instant fragile 1995 Plus le monde se perfectionne, plus les barriĂšres qui divisent les hommes s'Ă©largissent, plus il y a de pays que les mĂȘmes intĂ©rĂȘts tendent Ă rĂ©unir. Louis-NapolĂ©on Bonaparte ; Les Ćuvres de NapolĂ©on III 1854-1869 L'orgueil est incompatible avec l'orgueil, de lĂ naissent toutes les divisions qui troublent le monde. François de Salignac de La Mothe-FĂ©nelon ; Les rĂ©flexions et pensĂ©es 1720 Le monde est divisĂ© en deux catĂ©gories de personnes. Celles qui acceptent de se gĂȘner pour les autres. Et celle qui s'y refusent. Henry de Montherlant ; Un incompris 1943 Divisez un grand Ătat, et chaque portion voudra s'Ă©lever au dĂ©triment des autres ; chaque province sera le foyer de nouveaux intĂ©rĂȘts, de nouvelles prĂ©tentions ; elle tendrait toujours Ă se sĂ©parer du centre. Louis-NapolĂ©on Bonaparte ; Les Ćuvres de NapolĂ©on III 1854-1869 Le mot d'ordre de tous les hommes est bonheur, mais au lieu de les rĂ©unir, il les divise. Pierre-Claude-Victor Boiste ; Le dictionnaire universel 1843 Ă de certaines heures, nous parvenons Ă nous dĂ©tacher assez de nous-mĂȘmes pour nous dĂ©doubler, pour nous diviser en deux moi, et l'un de ces moi regarde l'autre comme un Ă©tranger qui lui plaĂźt. Nous devenons alors des spectateurs sympathiques de notre propre vie. Victor Cherbuliez ; L'art et la nature 1892 Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. Paulo Coelho ; Sur le bord de la riviĂšre Piedra 1994 Diviser le bien c'est le multiplier chaque fraction devient aux yeux de Dieu, aussi grande que le tout. Adolphe d'Houdetot ; Dix Ă©pines pour une fleur 1853 On reconnaĂźt les nombres premiers Ă ce qu'ils ne peuvent pas se diviser et la droite française au phĂ©nomĂšne inverse. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 La sociĂ©tĂ© se divise en deux camps, ceux qui ont et ceux qui n'ont pas. FrĂ©dĂ©ric Ozanam ; Les discours aux confĂ©rences de Saint-Vincent-de-Paul 1853 Le problĂšme de la civilisation est celui-ci ComplĂ©ter les hommes les uns par les autres, c'est-Ă -dire diviser leurs fonctions selon leurs aptitudes respectives et rĂ©gler le juste Ă©change de leurs services rĂ©ciproques. GrĂące Ă l'inĂ©galitĂ© des facultĂ©s, cette division du travail est fatale, mais combien elle est misĂ©rable au fond ! Elle parque les hommes pour toute leur vie dans ces orniĂšres qu'on nomme les carriĂšres, les professions, tĂ©moignage de l'imperfection de chacun. Sully Prudhomme ; Journal intime, le 2 juillet 1868. Lors des rĂ©unions de famille on doit Ă©viter les sujets de scandale et les motifs de division. Anatole France ; Le mannequin d'osier 1897 L'opinion rĂ©unit ou divise les hommes. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Ă partager, on gagne toujours si je partage une joie, je la multiplie. Si je partage une peine, je la divise en deux. Georges Dor ; Ăchos-Vedettes, le 8 juillet 1967. Deux hommes se sentent confusĂ©ment unis par la mĂȘme femme, alors que deux femmes sont irrĂ©mĂ©diablement divisĂ©es par le mĂȘme homme. FrĂ©dĂ©ric Dard ; Les pensĂ©es de San-Antonio 1996 Les gens se divisent en deux catĂ©gories les ineptes et les inaptes. FrĂ©dĂ©ric Dard ; Les pensĂ©es de San-Antonio 1996 L'amour ne peut supporter le temps ni l'espace, tout ce qui divise. Marcel Jouhandeau ; Monsieur Godeau intime 1926
Ouvrirson coeur Cela peut paraĂźtre anodin et pourtant ce n'est pas toujours facile. Ouvrir son cĆur, accueillir l'Amour en soi, donner et recevoir de l'Amour, trouver le juste Ă©quilibre dans l'Ă©change pour ne pas s'oublier. Pour cela, il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de guĂ©rir ses blessures, pardonner au passĂ©, recoudre son cĆur avec du fil d'or, pour permettre Ă l'Amour de se
Il n'y a rien de plus beau, plus fortque l'amour d'une mĂšre pour son enfant19 juillet 2021 - os libre Ces derniĂšres semaines ont Ă©tĂ© teintĂ©es de joies, d'angoisses, de souffrances, mais tout s'est effacĂ© lorsque tu l'as vu. Lui. Celui qui sera l'Homme de ta vie, l'amour ultime, un Muller Ă©videmment, Liam. Certaines femmes ont la chance de profiter de leur grossesse, elles ont la joie et la chance de l'innocence, pour toi, ces mois furent les plus longs de ta vie, chaque matin ton cĆur Ă©tait serrĂ© par l'angoisse, l'envie, le besoin de vĂ©rifier que tout se passait bien parce que cette fois, cet enfant, tu le voulais, vous le vouliez. Tu revois encore l'expression de surprise sur le visage de CaĂ«l quand il a dĂ©couvert ce miracle, toi qui pensais ne jamais pouvoir avoir d'enfant, Ă©tait-ce un signe de l'univers ? C'est ainsi que tu le pris et c'est pour cela que tu as juste dit oui lorsqu'il te posa cette question inattendue. Chaque nausĂ©e, chaque malaise, chacune des contractions que tu ressentais t'apportaient une dose de stress, tu n'avais aucune idĂ©e de ce qui Ă©tait normal ou non, tu as pleurer, parce que c'est ce genre de moment dans sa vie oĂč une femme a besoin de sa mĂšre, d'ĂȘtre rassurĂ©e ou simplement Ă©paulĂ©e; tu n'as plus ta mĂšre, mais heureusement tu n'Ă©tais pas seule, la dĂ©licieuse mĂšre de Dhan Chaffinch Ă©tait la pour toi. Ancienne belle-mĂšre pour qui tu gardes Ă©normĂ©ment de respect et d'amour, une femme qui t'a accueillie dans sa famille a bras ouverts et qui, encore aujourd'hui, t'assure d'y ĂȘtre encore a ta place. La solitude, au final, n'a pas Ă©tĂ© ton plus gros soucis, grossesse jumelĂ©e a celle de ton amie Isalynn Fraser, vous vous Ă©changiez les conseils, les peurs et les insomnies les pauses pipi lors des sorties shopping aussi, tu t'estimes chanceuse d'avoir eu Lynn dans ces moments, vous vous ĂȘtes soutenues, rĂ©confortĂ©es, fĂ©licitĂ©es pour chaque nouvelle semaine passĂ©e sans encombre. Les amis sont le sel de la vie, sans les tient qu'est-ce que tu aurais fait ? Parti Ă l'autre bout du monde, ou peut-ĂȘtre pas, mais une fois qu'il n'est plus Ă portĂ©e de main c'est l'impression que tu as, Hunter Murphy Fraser ne cessait de te pousser au repos, il te faisait vivre la vie dont tu rĂȘvais par procuration, ponctuant chacune de ses interventions par une petite blague sur ton ventre proĂ©minant, blague qui aurait valut a n'importe qui d'autre de se faire incendier, mais pas lui, Hunter c'est ton jumeau, ton Ăąme sĆur, alors tout lui est pardonnĂ©. Etonnement, tu as pu te reposer sur l'efficacitĂ© de Jolan Wauters pour faire tourner la crĂšche les jours oĂč cela devenait trop difficile pour toi; tu n'Ă©tais jamais loin, mais le jeune homme s'est rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre un garçon fiable, ponctuel et, bien qu'original et un peu trop dĂ©brailler Ă ton goĂ»t, il a un trĂšs bon feeling avec les enfants et les parents. Je fini juste... » tu viens de perdre les eaux, tu rigoles ?C'est probablement le moment oĂč tout s'est accĂ©lĂ©rĂ©, heureusement, CaĂ«l Muller Ă©tait a la maison, tu donnais la touche finale dans la chambre d'enfant, Ă©niĂšme rangement sur les Ă©tagĂšres, tu cherches la configuration parfaite, l'harmonie qui fera que cet enfant se sentira chez lui, aimĂ© et en sĂ©curitĂ©, comme si une chambre pouvait faire ça, mais c'est peut-ĂȘtre pour t'occuper l'esprit, ne pas penser a tout ce qui pourrait mal se passer. Les contractions se rapprochent et, en effet, tu viens de perdre les eaux, it's time. Le travail a durĂ© quelques heures, une Ă©ternitĂ© de souffrance, de larmes, de cris, d'insultes et de doigts broyĂ©s, mais finalement... soulagĂ©e, Ă©puisĂ©e, tu as entendu le plus beau bruit de la terre, le pleur de votre fils. Quand l'infirmiĂšre a donnĂ© une claque dans le dos du nourrisson, tu as bien cru que le jeune papa allait lui rendre la pareil, mais finalement tout s'est bien passĂ©. Elle a besoin de repos. En effet. On t'emmĂšne discrĂštement, laissant le bĂ©bĂ© en compagnie de son pĂšre et des infirmiĂšres, tu fais une hĂ©morragie, rien de bien inhabituel, mais ils prĂ©fĂšrent vĂ©rifier qu'il ne risque pas d'y avoir de complication, ton dossier mĂ©dicale laissant entendre que c'est une possibilitĂ©. ExtĂ©nuĂ©e, tu te rĂ©veilles dans une chambre magnifique, rien qu'Ă cette vision, tu sais que ce n'est pas toi qui l'a demandĂ©e et encore qui aura les moyens de la payer. ExagĂ©ration. Toujours. Lentement, tes paupiĂšres s'ouvrent et tu laisses Ă©chapper un long soupire, cherchant du regard les deux personnes les plus importantes a tes yeux et rapidement, tu les trouves. CaĂ«l face a la grande fenĂȘtre, certainement enchantĂ©e, qui prĂ©sente le monde a son fils, un sourire fend tes lĂšvres, Regarde Simba, toute cette immensitĂ© baignĂ©e de lumiĂšre est notre royaume... » que tu marmonnes en ricanant, sous-estimant l'effort que cela te demande pour une blague qu'il ne comprendra certainement pas, mais ce n'est pas grave, cette vision est la plus belle chose que tu pourrais imaginer voir, tu pourrais mourir maintenant, tu ne pourrais pas ĂȘtre plus heureuse qu'en emportant cette vision avec toi. Les visites n'ont pas Ă©tĂ© nombreuses, vous aviez prĂ©ciser que les amis seront les bienvenus a la maison, tu prĂ©fĂšres de loin garder ces premiĂšres heures a trois avant d'ĂȘtre plonger dans la rudesse du quotidien et la reprise d'un rythme normal. Il faudra qu'on se revoit bientĂŽt pour le suivi, reposez-vous en attendantLe regard de CaĂ«l en dit long, toi, t'es plus terre Ă terre, quelle jeune maman Ă le temps de se reposer ? C'est bien une utopie toute masculine ça, tu lĂšves tes yeux noisettes au ciel en expirant un ouai, bien sĂ»r, comme si c'Ă©tait ton genre. Bien que tu essaies de prendre sur toi, tu es nĂ©e hyperactive et tu risques d'avoir bien du mal Ă ne pas en faire trop, d'ailleurs, c'est quoi trop exactement? ExtĂ©nuĂ©e, mais heureuse, tu retrouves ton chez toi, Pongo se trouve chez Jolan, le jeune homme ayant assurĂ© que l'animal y trouverait des compagnon de jeux et une prĂ©sence agrĂ©able le temps que tu rentres et prennes tes marques, mais la maison te semble vide sans lui et ses bonds, probablement que tu le rĂ©cupĂšreras plus tĂŽt que prĂ©vus. Liam est un bĂ©bĂ© dormeur, pour l'instant, il ne pleure que trĂšs peu et souvent juste parce qu'il a faim ou perdu sa tĂ©tine. Le petit dans son berceau, tu ne peux pas dĂ©tourner ton regard de cette merveille, ta merveille, malgrĂ© la tristesse que tu ressens en imaginant que ton fils ne connaitra jamais ses grands-parents, tu es plus heureuse que tu ne pourrais l'ĂȘtre, finalement, ton regard se tourne vers l'heureux papa, heureux et fatiguĂ© aussi, au vu de sa tĂȘte, tu souris et poses le menton contre son torse, le regard tendrement amoureux, on a plutĂŽt bien fait ça, tu trouves pas ? » "ça", Ă©tant Liam, Ă©videmment. Tu sais que tu es chanceuse, tu prends la mesure de ce moment, ta vie prends la tournure dont tu as toujours rĂȘvĂ© et tu espĂšres qu'aucune ombre ne viendra assombrir ce si joli tableau. infosNiamh a accouchĂ© le 17 juillet 2021 d'un petit Liam Muller. La famille et les amis ont Ă©tĂ© cordialement invitĂ© Ă passer aprĂšs la sortie de maternitĂ©, retour Ă la maison le C'est un OS, sentez-vous libre de poster ou non, mais c'est un Ă©vĂšnement qui mĂ©ritait qu'on marque le coup Peuvent ĂȘtre
fd0Kn. hriowb0x11.pages.dev/166hriowb0x11.pages.dev/7hriowb0x11.pages.dev/386hriowb0x11.pages.dev/214hriowb0x11.pages.dev/412hriowb0x11.pages.dev/427hriowb0x11.pages.dev/314hriowb0x11.pages.dev/349
l amour ne se divise pas il se multiplie