Cetteoeuvre est un roman d’aventures et de mystĂšre qui se passe au Moyen-Age dans un chĂąteau lointain, la Roche-Guyon. Le hĂ©ros : Dans ce chĂąteau, un jeune Ă©cuyer qui se nomme Michel de Gallardon, est venu Ă  la Roche Guyon pour Suite au dĂ©filĂ© de la plage, je suis revenu Ă  l'hĂŽtel. Je suis plutĂŽt Ă©puisĂ©, les Ă©vĂ©nements insolites du casino et de la plage ont eu raison de mon Ă©nergie et de mon cerveau qui fume toujours, totalement dĂ©passĂ©. La situation avec Amber n'est toujours pas rĂ©solue. J'ai donc ouvert la porte du bĂątiment avec la ferme intention de m'expliquer et de m'excuser. J'ai frappĂ© Ă  la porte de sa chambre deux fois. En l'absence de rĂ©ponse, j'ai appuyĂ© sur la poignĂ©e, mais rien ne s'est produit. Je tente de l'appeler par son nom, sans rĂ©ponse. Je finis par renoncer et quitter les lieux pour la si elle pourrait s'y trouver, je prĂ©fĂšre restreindre les recherches loin de la plage. Je ne m'y risquerai pas une nouvelle fois de peur que le mauvais sort me frappe encore. La mer au loin est calme, les vagues sont peu nombreuses. L'ambiance dans les rues est apaisante. Je croise des habitants en tenue estivale, munis de lanternes qui rient en Ă©voquant un festival. J'arque un sourcil et leur lance un regard interrogateur qui n'aura pas de rĂ©ponse. J'ai sĂ»rement du rater les prĂ©paratifs car mon esprit Ă©tait ailleurs. Je retourne vers le quartier commerçant au pas de course, qui au loin, semble trĂšs j'arrive dans la grande rue, je finis par apercevoir dans les airs de milliers de rangĂ©es de lampions alignĂ©s. L'Ă©clairage est tel que seul le ciel me permet encore de m'apercevoir que nous sommes bien en pleine soirĂ©e. Je souris. La coutume m'est totalement Ă©trangĂšre mais le spectacle est beau et digne d'un certain intĂ©rĂȘt. Des boutiques sont disposĂ©s ici et lĂ  de tous les cĂŽtĂ©s. L'un vend ces fameuses lanternes que les passants ont Ă  la main. - Waouh, papa regarde les lumiĂšres !Mon sourire s'Ă©largit en apercevant cet enfant qui rit sur les Ă©paules de son pĂšre avec des Ă©toiles plein les yeux, s'extasiant sur le spectacle que lui offre la dĂ©coration atypique de ce monde. Une odeur me chatouille les narines et m'entraĂźne vers un commerce plus loin. Un homme est attelĂ© Ă  confectionner des sortes de boulettes de riz. Mon estomac gronde. La journĂ©e a Ă©tĂ© longue. Me laissant enivrer par la gourmandise, je me dirige vers le vendeur et observe avec intĂ©rĂȘt l'homme qui prĂ©pare les boulettes. Au moment de passer commande et sortir la monnaie, mon visage se renfrogne au souvenir du pertes ne m'ont laissĂ© assez que pour un trajet de la Shin' Ă©dition par Kuro le Jeu 5 Mar 2020 - 2133, Ă©ditĂ© 2 foisSam 25 Jan 2020 - 2040Une journĂ©e infernale, Ă  courir dans tous les sens. Et tout ça pour quoi ?! Pour assister l’assistante de Jimbo, son patron, Ă  la Costa del Sol ! Qu’est-ce qu’il Ă©tait, hein ?! Erik Ă©tait Ă  peu prĂšs sĂ»r que si le rĂ©seau avait un jour des stagiaires de 3Ăšme, ils ne seraient pas aussi baladĂ©s et mobilisĂ©s que allait prendre des chose dans cette pensĂ©e n’allait pas. Quoi ? Ah. Oui. Évidemment. Pourquoi n’y avait-il pas pensĂ© avant..?Il Ă©tait en train de songer Ă  prendre des vacances alors qu’il se trouvait dans LE monde qui apparaissait sur TOUTES les publicitĂ©s d’agences touristiques ! TOUTES !!! Est-ce que ce n’était pas le signe d’une vie de merde ça ?! Raaaaaah !!!Au moins, il y avait la fĂȘte. VoilĂ  qui le distrairait, le temps d’une soirĂ©e. De la musique sympa, un joli cadre avec plein de lumiĂšres plus agrĂ©ables que les nĂ©ons de la Dark City... ce serait dĂ©paysant. C’était exactement ce dont il avait besoin. De ça, et d’un petit snack. La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Il rĂ©alisait maintenant ne pas avoir maintenant...Erik regardait le type devant lui avec un lĂ©ger dĂ©pit. Il pouvait voir son expression renfrognĂ©e, et Ă©tait partagĂ© entre le fait de le plaindre et le fait de se lamenter sur l’attente supplĂ©mentaire qu’il allait devoir lui-mĂȘme subir, si un jeune idiot devait fouiller dans le fond de toutes ses poches pour trouver les quelques pauvres munnies que coĂ»taient ces boulettes de ! Il avait trop faim pour ces conneries. Et puis, il pouvait toujours faire passer ses repas sur ses notes de frais. Il lui suffirait de dire qu’il avait tout achetĂ© pour lui-mĂȘme. Lorsqu’il leva la main pour se manifester, quelque chose en l’escroc lui fit ressentir une petite fiertĂ© de bon seigneur. Je vais rĂ©gler pour le monsieur, » lĂącha-t-il avec une nonchalance assurĂ©e. Comme il faisait bon faire acte de gĂ©nĂ©rositĂ© ! Et je vais prendre une boulette avec du saumon, si vous pouvez ajouter ça. » Le cuisinier acquiesçait tout en rĂ©ceptionnant les munnies que le jeune homme lui tendait. Il ne restait plus qu’à attendre.... avait quelque chose de gĂȘnant. Alors... vous ĂȘtes lĂ  pour la fĂȘte ? J’ai entendu dire qu’il y aurait des feux d’artifice plus tard dans la soirĂ©e. Vous devriez pas tarder Ă  rejoindre les quais si vous voulez pas les louper. » _______________________________Dim 26 Jan 2020 - 443Si quiconque me regardait avec suffisamment d'attention, on pourrait lire dans mon regard les mĂȘmes Ă©toiles qu'un de ces enfants, dĂ©couvrant l'Ă©clairage magique apportĂ© par ces rangĂ©es de lampions accrochĂ©s en hauteur. La bouche entrouverte, le souffle un instant coupĂ©, mon regard s'Ă©tait arrĂȘtĂ© sur lui. Si l'on pouvait personnifier E... Eron ? Elle serait en la personne de ce jeune homme gĂ©nĂ©reux qui m'offrait un rayon de soleil dans cette journĂ©e Ă©puisante. Le soleil se reflĂšte dans les petites touffes de cheveux blonds du beau gosse. A l'instar de moi, il arbore une tenue plutĂŽt civile, mais plus relĂąchĂ©e genre jean bleu et t-shirt blanc. Le nouveau venu a dans sa dĂ©marche ce quelque chose de nonchalant qui me fait penser Ă  certains de ces gaillards du dĂ©filaient qui passaient avec une insouciance enviable, ni trop sĂ»rs d'eux, ni Je... Euh... baissĂ© le regard, mes joues empourprĂ©es de honte, mĂȘme pas capable d'aligner une phrase cohĂ©rente Ă  mon sauveur. Tout ça me fait rĂ©aliser que malgrĂ© une malchance compĂ©titive dans le multivers, j'ai souvent eu quelqu'un pour me sauver la mise Ă  chaque mauvais coup du sort Kuro, les deux fĂ©es et maintenant lui. Ça a ce cĂŽtĂ© embarrassant de ne jamais pouvoir m'en sortir tout Non, je recherche quelqu'un sans qui elle n'aura aucun sens, fis-je, l'inconnu a lĂąchĂ© une information qui n'est pas incongrue il va y avoir des feux d'artifices. Connaissant Amber, elle serait trop fascinĂ©e par le spectacle pour le manquer. Elle va forcĂ©ment rechercher un excellent angle de vue. C'est plutĂŽt vague comme dĂ©but, mais c'est une bonne piste si je veux la retrouver avant la fin de la J'espĂšre pouvoir les voir avec elle si je parviens Ă  la retrouver Ă  qui, malgrĂ© les quelques maigres pistes Ă  explorer, n'a Ă  ce rythme peu de chances de se produire. Surtout si je flĂąne autour d'un stand de restauration... Au point oĂč j'en suis, je prĂ©fĂšrerais trouver un moyen de remercier cet Ă©tranger plutĂŽt que de poursuivre une femme que je ne retrouverai sĂ»rement pas avant le Et vous ? Quel gĂąchis... Qu'est-ce qu'un bel homme comme vous fait sans compagne par ici ?Mon regard est plus taquin que moqueur. J'espĂšre qu'il ne prendra pas personnellement ma plaisanterie. Je dĂ©cale mon regard, les commandes ne sont pas encore prĂȘtes, on a un peu de temps devant Monsieur... ? Finis-je en lui tendant amicalement une 26 Jan 2020 - 1019Il lui serra la main, la poigne ferme par habitude, mais sans plus. Euh, Erik. »Si. Si il avait pris la remarque de Ross personnellement, mais pas comme une attaque Ă  son ego. Loin de lĂ . Qu’importait que l’escroc n’ait pas de compagne, ce n’était pas vraiment ce qu’il cherchait en ce moment. Il n’allait donc pas s’offusquer qu’on le relĂšve. Par contre, il Ă©tait tout Ă  fait inĂ©dit que quelqu’un qu’il ne connaissait ni d’Etro ni du Nuage Noir l’appelle bel homme » et commence Ă  s’inquiĂ©ter du manque de bonne femme Ă  son formulation avait un rendu profondĂ©ment veut me draguer ou..? s’interrogea-t-il en une demi-seconde de connexion Il se faisait des idĂ©es. Stop la parano Erik ! Enfin
 n’avait-elle pas souvent eu raison lĂ  oĂč ses efforts de tempĂ©rance l’avaient desservi ? NON ! Il ne devait pas y penser. Il sentait dĂ©jĂ  la gĂȘne lui monter au cerveau. Et puis, Le blondinet cherchait la petite dame sans qui la fĂȘte n’aurait pas de sens. » Il n’avait de toute Ă©vidence pas le temps pour du menu fretin comme lui ! Avec une dĂ©claration si proche du mĂ©lodrame romantique, il avait d’autres chats Ă  fouetter ! Il l’espĂ©rait. Madame Song et ses techniques de drague aussi subtiles qu’un templier Ă  un club de lecture devaient l’avoir atteint, Allez. Et vous ? » demanda donc l’escroc, l’esprit soudainement apaisĂ© — pour approximativement deux dĂ©taillait plus avant son interlocuteur, maintenant. Un garçon aux longs cheveux blonds, propre sur lui, habillĂ© dans des tons bleu sombre. Il n’était vraiment pas vieux, et avait dans le regard cet Ă©clat de je suis perdu. » Erik en aurait presque soupirĂ©. Est-ce qu’il Ă©tait condamnĂ© Ă  aider tous les petits jeunes du multivers ?! Ils paraissaient lui coller aux baskets, tous plus ennuyĂ©s les uns que les autres
 et lui, peinait Ă  les laisser dans la prit une brĂšve inspiration. Vous avez perdu votre amie c’est ça ? Elle ressemble Ă  quoi ? Je traĂźne lĂ  depuis un moment, je l’ai peut-ĂȘtre vue. »_______________________________Dim 26 Jan 2020 - 1046Non, je ne l'ai pas simplement perdue. Si ce n'Ă©tait que ça... Je soupire et baisse le regard. Dans une certaine mesure, j'ai toujours fait n'importe quoi. Pourtant, j'ai toujours fait de mon mieux ! J'avais pensĂ© pouvoir reprendre les choses en main, que je pourrais trouver une place dans mon groupe et me sentir utile. Mais j'ai eu tort. Je n'ai jamais Ă©tĂ© en phase avec la Coalition Noire. LĂ , ça m'a rattrapĂ©. Et franchement... Je me demande si ce serait pas pareil avec Amber. Je me suis attachĂ© Ă  elle et d'une certaine façon, j'ai constamment tentĂ© de rattraper la maladresse que j'ai eu avec elle. Mais au casino, j'ai perdu pied. Je me suis laissĂ© submerger par mes sentiments, j'ai jouĂ© avec le feu, j'ai tentĂ© de tout final, j'ai juste ! Je relĂšve la tĂȘte. Je rĂ©alise que j'Ă©tais tant prĂ©occupĂ© que j'en ai oubliĂ© de rĂ©pondre aux questions d'Erik. Je me frotte la nuque. Mon visage qui s'Ă©tait rĂ©cemment fendu d'une grimace prend une mine moins sombre, mais plus embarrassĂ©e. - Peut-ĂȘtre oui. Je tente de lui faire une description d'elle, relativement approximative mais suffisante. Mais cela ne semble pas lui Ă©voquer quoi que ce soit. De la dĂ©ception s'affiche sur mon visage mais s'efface plutĂŽt vite. Profitons de l'instant prĂ©sent, les personnes sympathiques telles que ce jeune homme ne sont pas si courantes dans mon Pour ĂȘtre honnĂȘte... Je prends une inspiration. Je lui dois bien la vĂ©ritĂ© pour son geste. Je me suis disputĂ© avec elle. C'est une longue fais une pause. Je ne vais pas lui mentir mais je prĂ©fĂ©rerais Ă©viter de gĂącher cette rencontre en entrant trop dans les dĂ©tails. Il ne mĂ©rite pas que je l'ennuie avec cette histoire. Et puis, il y a aussi une part de moi qui, comme lors de ma derniĂšre mission, ne parvient pas vraiment Ă  accepter ouvertement ses torts. - On vient de la CitĂ© du parle plutĂŽt calmement, mais je ne parviens pas Ă  dissimuler une pointe de mĂ©lancolie. J'espĂšre que cette mention Ă  un monde sous le joug de la Coalition Noire ne l'effraiera pas Tout lĂ  bas a tant changĂ© que je ne sais plus oĂč me placer. Je me demande s'il vaudrait pas mieux que je laisse tout tomber et que je... Et quoi au juste ? Je sais mĂȘme pas. Ça vous est dĂ©jĂ  arrivĂ© de...Merde, ça devient bizarre... Je baisse Ă  nouveau un peu la tĂȘte. VoilĂ , je me sens tant paumĂ© que je reste lĂ , dans ma dĂ©tresse, totalement incapable de formuler ma question convenablement. Quelle 8 Mar 2020 - 1509 De ? »Ce garçon venait donc de la CitĂ© du CrĂ©puscule
 l’escroc retint une moue peinĂ©e, qui pourtant avait menacĂ© ses traits. VoilĂ  bien une chose qu’il n’était pas enthousiaste de partager avec quelqu’un. Il voulait le plaindre, quelque part
 mais d’un autre cĂŽtĂ©, le garçon avait la libertĂ© de sortir de ce monde maudit pour en visiter un autre. Soit la Coalition Noire s’était bien relĂąchĂ©e, soit il Ă©tait privilĂ©giĂ©. En tous les cas, il n’était pas dans leur viseur. La CitĂ© du CrĂ©puscule
 son monde. Erik sourit finement – le soleil lui revenait, et quelques rires – mais c’était un sourire trop doux, trop effacĂ©, mĂ©lancolique. Ce monde dont il se souvenait Ă©tait mort depuis longtemps. Il prit une brĂšve inspiration. C’est sĂ»r, ce n’est pas un monde oĂč les choses doivent ĂȘtre Ă©videntes, » soufflait-il, trop habituĂ© Ă  ne pas s’épancher sur ses circonstances pour dire qu’il en Ă©tait originaire, lui aussi. Plus il y pensait, plus son sourire pĂ©rissait. Mais
 » Il s’interrompit. Non. Il n’avait aucun conseil Ă  donner. Pas prit une bouchĂ©e de la boulette au saumon qu’il venait de rĂ©cupĂ©rer, et laissait son interlocuteur rĂ©ceptionner les siennes tout en s’écartant. Le riz lui semblait avoir un goĂ»t amer
 Ă  moins qu’il ne s’agisse de son imagination. Ce que l'esprit pouvait avoir d'influence sur le corps...L’escroc ne savait que dire, vraiment, et pourtant le jeune homme paraissait attendre qu’il poursuive. Mais qu’y avait-il Ă  ajouter ? Que pouvait-il dire ? Il n’était certainement pas le mieux placĂ© pour se prononcer sur quoi que ce soit qui touche Ă  ce lieu comme Ă  ceux qui l’habitaient. C’était un monde qu’il avait abandonnĂ©. Pire c’était un monde oĂč il avait abandonnĂ© ceux qui avaient comptĂ© pour lui. Ah
 que dire, oui ? Que dire Ă  quelqu’un qui Ă©tait restĂ©, quand on Ă©tait parti ? Erik levait sur son interlocuteur un Ɠil tranquille dans lequel naissait une pointe de curiositĂ©. C'Ă©tait vrai pourquoi restait-il, ce jeune homme ? L'escroc ne ressentait pas chez lui l'assurance idĂ©aliste de ceux qui y demeurent parce qu'ils ne sauraient le quitter, le laisser entre les mains de la Coalition Noire, de ses laquais, de ces profiteurs qui avaient noirci leur ciel et leurs cƓurs. Il sentit ses Ă©paules se crisper alors que la question franchissait ses lĂšvres. Qu’est-ce qui vous retient Ă  la CitĂ© du CrĂ©puscule ? Je me dis
 que c’est peut-ĂȘtre lĂ  le point. »Tiens. Maintenant qu’il y pensait, le blondinet n’avait pas donnĂ© son 11 Mar 2020 - 1737J'ai tellement laissĂ© passer de temps juste avant que je n'ai pas remarquĂ© que notre commande est prĂȘte. Je profite de l'instant oĂč mon sympathique bienfaiteur s'Ă©carte pour m'approcher du vendeur. Cinq boulettes de riz, empalĂ©es sur un fin pic Ă  brochette en bois clair qu'il me tend et que je rĂ©ceptionne. Ensuite, je m'Ă©loigne Ă©galement afin de ne pas gĂȘner les autres clients. Je ferme les yeux, Ă©coutant d'une oreille distraite la question d'Erik et en profite pour humer l'odeur Ă©manant de la nourriture, Ă©veillant mon appĂ©tit. Je la laisse en suspend au profit de faire cesser les plaintes de mon Bon appĂ©tit, dis-je avec le sourire avant de profiter d'une premiĂšre choc de l'arriĂšre. Une Ă©paule m'a percutĂ© un peu violemment. Mes appuis tiennent, bien sĂ»r. Toutefois, l'objet de ma gourmandise s'enfonce un peu trop vite au fond de ma bouche. Ça brĂ»le et ça pique, je dois m'empresser de reculer la brochette. Le rustre s'est dĂ©jĂ  bien Ă©loignĂ© sans m'accorder un regard ni mĂȘme des excuses. Je grimace, lĂ©gĂšrement irritĂ©, mais dĂ©cide de laisser couler. Je fais signe Ă  mon nouvel ami de me suivre. Une fois posĂ© sur un banc, un peu Ă  l'Ă©cart du tumulte, je rĂ©ponds de façon plutĂŽt spontanĂ©e avec un ton plutĂŽt amer - C'est pas toujours facile, marque une pause. Bravo Ross, t'as bien plombĂ© l'ambiance. Si j'Ă©tais drĂŽle, ça serait le moment de lĂącher une bonne blague pour dĂ©tendre l'atmosphĂšre. Pas de bol, je le suis pas Mais jusque rĂ©cemment, je pensais que les choses n'Ă©taient pas si terribles. Je suis plutĂŽt sĂ©rieux, mais qui est-ce qui y croirait ? Les habitants sont sous oppression, subissant les taxes et les horreurs que certains peuvent dĂ©cider d'imposer en spectacle. Certains doivent mĂȘme lutter contre les apparitions de sans-cƓur en attendant les rondes de gardes noirs, qui ne peuvent couvrir tout un monde, mais qui apportent tout de mĂȘme une sĂ©curitĂ© approximative. - C'est le monde oĂč j'ai grandi. J'y ai tout ce Ă  quoi je tiens, ma famille, mes amis...Et une position relativement confortable, bien qu'on ne puisse pas dire que je sois une recrue particuliĂšrement apprĂ©ciĂ©e. Mes Ă©tats de service sont plutĂŽt dĂ©plorables. Mais au moins, je n'attirais pas trop l'attention et je pouvais continuer de suivre mes habitudes, vivre ma vie, presque normalement. - Et pourtant...Une fois de plus, je m'interrompt, incapable de formuler ma pensĂ©e. Pas parce que je ne sais pas, mais parce que c'est difficile de me l'avouer. Je dĂ©cide enfin d'engloutir la premiĂšre boulette. Ce serait dommage de les laisser refroidir ! Le riz fond dans ma bouche et se mĂȘle au goĂ»t du poisson, provoquant un mĂ©lange de sensations agrĂ©ables sur ma langue. Le poids dans mon cƓur semble mĂȘme s'en allĂ©ger un petit J'ai le sentiment de n'avoir rien Ă  faire lĂ -bas. Ça vous est dĂ©jĂ  arrivĂ© ?Dim 22 Mar 2020 - 1835Erik ne connaissait que trop bien ce sentiment. Il lui collait Ă  la peau depuis longtemps — trop longtemps, Ă  la vĂ©ritĂ© il n’avait plus rien eu Ă  faire Ă  la CitĂ© du CrĂ©puscule, il n’avait jamais rien eu Ă  faire au Domaine EnchantĂ©, et nul n’avait rien Ă  faire Ă  Illusiopolis, objectivement. Il Ă©tait pourtant Ă©trange de voir comme on pouvait regretter ou s’attacher Ă  des lieux oĂč l’on avait plus, pas, ou ne devrait pas avoir sa place. Il avait suivi le petit gars jusqu’à son banc, Ă  sa propre surprise. Les jeunes dĂ©sƓuvrĂ©s Ă©taient dĂ©cidĂ©ment sa faiblesse. Enfin. T’es encore jeune, Erik ! se rassurait-il alors mĂȘme qu’il y pensait. L’escroc ne s’était pas assis, pas encore. MalgrĂ© ses Ă©paules relĂąchĂ©es, malgrĂ© son air tranquille, il n’était pas des plus Ă  l’aise ce type, il ne le connaissait pas. Ce type, il lui rappelait des choses dont il ne voulait pas se rappeler. Ce type, il avait quand mĂȘme sorti quelques rĂ©pliques Ă  double sens
 lequel ne savait que l’embarrasser. Surtout, Erik ne savait comment lui rĂ©pondre, ou par quel bout prendre le problĂšme. Oui, fatalement, » commença-t-il donc, prudent, avant de temporiser. Ca peut arriver Ă  tout le monde. »Son repas consommĂ©, l’amertume imaginĂ©e qu’il lui avait prĂȘtĂ©e lui restait. Son hĂ©sitation, elle, s’invitait discrĂštement en quelques signes que les attentifs repĂ©reraient un regard fuyant, et des mains dont on ne sait que faire. Vous
 tu. Je peux tutoyer ? » Il poursuivit lorsque le jeune homme assit devant lui acquiesça. Sa voix se posait, calme mais sĂ©rieuse. Il voulait ĂȘtre sĂ»r d’avoir compris car si il avait pris l’escroc Ă  part pour Ă©changer avec lui, s’il ressentait ce besoin, c’est bien que ce garçon Ă©tait un peu perdu. S’il avait besoin d’un conseil, ou d’une oreille, Erik n’aurait en revanche pas su en juger. Si je comprends bien
 t’es restĂ© parce que ce monde, c’est tout ce que tu connais. C’est lĂ  oĂč tu as tout ce que tu connais. »Mais il en Ă©tait sorti. Il avait vu un autre monde, d'autres gens, eu d'autres expĂ©riences, dĂ©sormais. Jusque rĂ©cemment, il pensait que les choses n’étaient pas si terribles, » pour reprendre ses Ă©tait-ce diffĂ©rent maintenant ? Mais
 tu hĂ©sites, c’est ça ? » cherchait-il Ă  s’en seraient les chances ? Quelles seraient les chances de croiser un jeune homme venant de la CitĂ© du CrĂ©puscule, et contemplant le fait de partir malgrĂ© qu’y demeure tout ce qu’il a toujours connu et aimĂ© ? L’escroc dĂ©glutit une mauvaise pensĂ©e. Ne serait-il pas plus simple d’évoquer le sujet Ă  cƓur ouvert ? Peut-ĂȘtre. Autant pour Erik que pour son interlocuteur, Ă  n’en pas douter. Mais il n’arrivait pas Ă  avouer ce hasard trop gros, trop improbable, d’une origine et d’une problĂ©matique commune. Il ne le pouvait pas. La vĂ©ritĂ© Ă©tait simple une part de lui s’agrippait Ă  une mĂ©fiance bien ancrĂ©e. La CitĂ© du CrĂ©puscule
 la CitĂ© tranquille oĂč le clocher veille les toits des maisons et oĂč on se retrouve sur la plage le week-end venu. Non. Celle-ci Ă©tait partie et il fallait s’y faire. Il avait fallu s’y faire. La CitĂ© du CrĂ©puscule celle des taupes, de ceux qui retournent leurs vestes. La voici telle qu’elle Ă©tait. Combien avaient Ă©tĂ© abusĂ©s par ceux qu’ils pensaient proches d’eux ? Combien en avaient payĂ© les frais ? Tout Ă©tait trop loin pour que l’escroc en ressente encore de la colĂšre. Les annĂ©es l’avaient lavĂ©e Ă  coup de recul, et les circonstances n’en avaient pas ĂŽtĂ© le vernis. Mais ses souvenirs lui soufflaient un doute. Ils lui soufflaient la prudence. Ils lui glissaient des rĂ©flexes dont il ne parvenait pas Ă  se dĂ©faire. Tout inoffensif qu’ait eu l’air celui qui devant lui se confiait ou semblait se confier
 
 lui n’avait pas poursuivait d’une derniĂšre question, qui dĂ©passait sa pensĂ©e Si je peux
 pourquoi maintenant ? »_______________________________Lun 23 Mar 2020 - 1112- hoche la tĂȘte Ă  l'affirmative, confirmant ainsi toutes les hypothĂšses formulĂ©es, mais avec un ton toutefois plutĂŽt grave. Simplement dire que j'hĂ©site est un vĂ©ritable euphĂ©misme. Et pourtant, d'ici demain, il faudra que j'en sois venu Ă  une dĂ©cision mon sĂ©jour Ă  l'hĂŽtel ne sera plus valide et je n'ai les munnies que pour un unique trajet, sans retour possible. Je finis par lever le menton et le regarder dans les yeux. Tais-toi ! Non, ne lui dis rien, vas-t-en ! Et s'il Ă©tait un agent de la coalition, envoyĂ© pour me rĂ©cupĂ©rer aprĂšs m'avoir interrogĂ© Ă  mon insu ? Et si derriĂšre toute cette gentillesse se cachait quelque chose de plus insidieux ?Par le soleil noir, tais-toi, foutue voix !C'est insensĂ©, il faut que je me calme. Ne pas sombrer dans la psychose. Pourtant si proche du "Boucher de Grimm", Lenore n'a rien soupçonnĂ© Ă  mon sujet. Enfin... Je crois. C'est la premiĂšre fois que je le rencontre, je le saurais, si ce jeune homme Ă©tait parmi nos rangs. Je poursuis la dĂ©gustation, l'association de saveurs parvient de nouveau Ă  m'apaiser. Je n'ai plus tellement le choix. C'est ce que j'aimerais rĂ©pondre, mais c'est pourtant faux. Je peux toujours rentrer, faire mon rapport et subir l'inĂ©vitable sanction - peut-ĂȘtre mortelle... Mais Death pourrait Ă©galement se montrer J'ai dĂ©sobĂ©i aux ordres de... J'hĂ©site Ă  citer le nom, mais dĂ©cide de me raviser pour le moment par prudence. Quelqu'un parce qu'ils constituaient un risque pour moi. Jusqu'Ă  ce jour, je pensais que les suivre pourrait peut-ĂȘtre amener quelque chose de positif. Mais au fond, j'avais pas bonne marque une nouvelle pause et entame la consommation de la troisiĂšme boulette. J'en ai sĂ»rement trop dit pour qu'il ne puisse pas comprendre ce Ă  quoi je fais rĂ©fĂ©rence. Mais je me plais Ă  penser que Erik agit sans arriĂšre pensĂ©e. Je finis par soupirer, amer. DĂ©serter, au risque d'ĂȘtre traquĂ© ?- Je sais pas ce que je peux faire...AprĂšs tout, j'ai pas vraiment de talent particulier, outre celui de m'attirer des ennuis, j'ai nulle part oĂč aller... En quelque sorte, cela me faciliterait les choses si je rejetais toute la responsabilitĂ© du choix sur lui. Mais je ne peux pas. Je ne dois pas. Dans la finalitĂ©, en quoi ça diffĂ©rerait du fait d'avoir laissĂ© Death dicter ma vie ? Je peux Ă©couter ses conseils, mais c'est Ă  moi d'assumer. Je ne peux plus laisser les autres dĂ©cider Ă  ma Je me sens pas capable de quitter mon monde... Et pourtant, j'ai l'impression qu'y retourner serait la pire erreur de ma 25 Mar 2020 - 2228Il n’avait pas confiance, toujours pas, non. Mais l’histoire de ce jeune homme commençait Ă  l’intriguer. Aux ordres de qui avait-il pu dĂ©sobĂ©ir ? Dans quel genre de merde Ă©tait-il allĂ© se fourrer ? Erik ne savait pas Ă  quoi il devait la petite crĂ©dibilitĂ© qu’il tendait Ă  accorder au garçon ; Ă  sa mine perdue, Ă  son air subtilement teint d’un lĂ©ger pathĂ©tisme, ou au fait qu’il aurait trĂšs bien pu ĂȘtre Ă  sa place, avec la chance dont il faisait souvent preuve. Ses lĂšvres se murent bien malgrĂ© lui d’un petit pincement. Une part de l’escroc, qu’il cherchait Ă  Ă©touffer, aurait aimĂ© avoir une solution Ă  apporter au problĂšme du type face Ă  lui, mais il n’y avait qu’une chose Ă  dire Ă  cet inconnu qui se confiait, en rĂ©alitĂ©. Si je peux me permettre, » risqua-t-il je.. je ne connais pas vraiment ton histoire, alors me prononcer est peut-ĂȘtre un peu dĂ©placĂ©. Le point
 c’est peut-ĂȘtre de savoir si tu es prĂȘt Ă  laisser ce que tu connais derriĂšre toi. »Erik n’allait pas en faire la liste ses proches, le peu qu’il possĂ©dait, les lieux qui composaient sa mĂ©moire
 Dire ces mots avait arrachĂ© Ă  l’escroc une expression plus concernĂ©e et affectĂ©e qu’il ne l’avait voulue. Pourquoi Ă©tait-il surpris ? Le regret rampant qui le saisissait n’était plus un mystĂšre pour lui, quoiqu’il ait rĂ©guliĂšrement rĂ©ussi Ă  le repousser d’un petit Ă©lan de mauvaise foi, ou de dĂ©saveu. C’est un choix avec lequel tu vas devoir vivre, » ajoutait-il en connaissance de cause. Il fallait cependant ĂȘtre un idiot pour penser que tenir, inflexiblement, tenir, toujours, se raccrocher Ă  chaque miette de ce que l’on avait ou avait eu Ă©tait une bonne idĂ©e. Il fallait s’adapter, retomber sur ses pattes, composer voir une nouvelle aube. D’un autre cĂŽtĂ©, » se tempĂ©rait-il donc immĂ©diatement, de raison, mort, tu ne pourras plus rien faire. Que ce soit regretter, ou trouver quelque chose de mieux, ailleurs. » Pour tout ce qu’Erik avait regrettĂ©, n’avait-il pas aussi pu trouver des choses nouvelles ? Avec tous les mondes qui s’offraient Ă  eux, est-ce que ça ne valait pas le coup, quand en effet il n’y avait plus rien pour soi dans l’un d’eux, ou plus rien pour soi qui valle la peine d’y rester toutes choses considĂ©rĂ©es, de partir ? Voir un nouveau ciel ? DĂ©couvrir un nouveau soleil ? Erik inspira doucement, son regard se portant machinalement vers le soleil dĂ©clinant en fin de journĂ©e, prĂȘt Ă  s’écrouler sur la mer qui lui servirait de lit. Enfin, je ne sais pas Ă  qui tu as dĂ©sobĂ©i, mais avec ce qu’on entend sur la CitĂ© du CrĂ©puscule, et sur la Coalition Noire qui y rĂšgne
 je me dis que ça peut ĂȘtre Ă  prendre en considĂ©ration. »Ses yeux se reportĂšrent sur le jeune homme, jaugeant sa rĂ©action sous couvert d’un peu d’inquiĂ©tude de bon samaritain – il l’appuyait un peu, tout en se surprenant ne pas la feindre totalement. SĂ©rieusement
 Quel Ăąge avait ce garçon ? Surtout, pourquoi l’avait-on envoyĂ© ici ? _______________________________Dim 6 Sep 2020 - 1644Suis-je prĂȘt Ă  laisser ce que je connais derriĂšre-moi, sans pouvoir regarder en arriĂšre ? Mes lĂšvres se pincent. Il y a Amber... Mais je pourrais tenter de la convaincre de me suivre. J'ai une famille. Une mĂšre aimante qui est employĂ©e Ă  l'accueil de la gare pour le compte de la Shin'ra. Un pĂšre littĂ©raire qui, malgrĂ© tout, conserve une Ă©nergie remarquable et parvient Ă  trouver une inspiration plus qu'admirable dans le monde qui nous entoure. Ses romans me permettent de m'Ă©vader totalement de ce quotidien qui n'est pas toujours Ă©vident. Ils sont une vĂ©ritable bouffĂ©e d'air frais plus que nĂ©cessaire dans nos mon modĂšle. Depuis que je suis enfant, mon rĂȘve a toujours Ă©tĂ© de suivre ces traces et de tenter Ă  mon tour de crĂ©er mes propres Ɠuvres fictives, donner le sourire Ă  mes lecteurs et faire vivre de grandes histoires Ă©piques ! Malheureusement, il subit une assez forte pression rĂ©cemment on souhaite le faire taire. Le contenu sensible de ses rĂ©cits ne plaĂźt pas Ă  l'autoritĂ© locale. Le stress qu'il subit au quotidien l'a conduit Ă  se mettre Ă  fumer. Je suis trĂšs proche de lui et ça ne serait pas forcĂ©ment facile de m'en Ă©loigner. Mais surtout, j'ai bien peur que mon dĂ©part pourrait Ă©galement accentuer la pression qu'on lui inflige. J'ai peur que l'Ă©tau ne se resserre sur lui et que ça se termine ce cas, ne vaudrait-il pas mieux que je revienne la queue entre les jambes, fasse mon rapport, donne la lettre d'excuses de en espĂ©rant qu'elle pĂšse dans la balance et le laisser une nouvelle fois dĂ©cider de mon sort ? Non, il n'en est pas question. Me ranger dans les rangs, agir pour leur compte n'a fait que me soumettre davantage Ă  leur autoritĂ©. Je ne souhaite plus les laisser dĂ©cider de mon avenir. Je veux faire mes propres choix. Je suis le personnage principal de ma propre histoire, merde !- Merci, Erik. GrĂące Ă  v-toi, je pense savoir quel choix termine la dĂ©gustation de la brochette et glisse un sourire optimiste Ă  mon interlocuteur. Ses mots m'ont aidĂ© Ă  y voir plus clair, remettre en ordre mes pensĂ©es. Ma dĂ©cision Ă©tant prise, je dĂ©cide de me lever du banc, plutĂŽt dĂ©cidĂ© Ă  ne pas l'ennuyer plus que nĂ©cessaire aprĂšs qu'il m'ait sauvĂ© la mise. Mais avant de le quitter, je plonge ma main dans ma poche, chagrinĂ© Ă  l'idĂ©e de ne pas pouvoir lui renvoyer l'ascenseur... J'y sens une forme, puis dĂ©cide de sortir l'objet et le lui tendre, le geste Ă©tant plutĂŽt hĂ©sitant au dĂ©but, puis s'affirmant au fur et Ă  Je pense que je n'en aurai plus besoin, dis-je avant d'enfoncer finalement l'objet dans sa main, sans rĂ©ellement lui demander son s'agit d'une sorte d'insigne, un signe distinctif qui peut montrer mon appartenance Ă  la Coalition Noire. Au dos y est inscrit mon prĂ©nom... Je m'appelle Ross, de la Coalition Noire, dis-je enfin pour me prĂ©senter en retour, ayant visiblement oubliĂ© de rĂ©pondre Ă  une de ses questions prĂ©cĂ©dentes. Ou du moins, je l' regard revient sur le visage d'Erik, scrutant avec apprĂ©hension l'instant oĂč il comprendrait, espĂ©rant ne pas me faire rejeter vivement avant d'avoir pu terminer mon explication que je m'empresse de poursuivre - Si un jour tu venais Ă  avoir des problĂšmes avec eux... Demandes Ă  parler Ă  "Kuro", j'appuie sur le prĂ©nom afin qu'il puisse s'en souvenir, et donnes-lui ceci de la part de Brett. C'est un ami, il pourrait sĂ»rement t' sais que ce n'est pas grand chose et j'espĂšre surtout que ça ne lui sera jamais utile, mais je voulais tout de mĂȘme tenter avec le peu que j'avais de lui rendre la 13 Sep 2020 - 051 Euh oui, d’accord, Bre — Ross ? » balbutiait Erik, complĂštement pris de cours par le soudain dynamisme plein de bonnes rĂ©solutions du jeune blondinet. Qu’est-ce qui lui avait mis le feu comme ça ? Pourquoi une telle dĂ©termination ? Qu’avait dit l’escroc pour motiver son choix ? Etait-ce le fait que, dĂ©cĂ©dĂ©, il n’arriverait Ă  rien ? Pourtant, Ross n’avait pas la mine de quelqu’un qui venait d’envisager son dĂ©cĂšs prochain dans de terribles souffrances, alors quoi ? De fait, ce n’était pas l’appartenance du jeune homme Ă  la Coalition Noire qui le saisissait. Elle ne le surprenait pas trop. L’escroc la suspectait dĂ©jĂ . En revanche un tel Ă©lan de motivation, rejetĂ© de plein fouet sur lui qui en manquait bien souvent cruellement, Ă©tait suffisant pour lui faire esquisser un mouvement de recul. Il hĂ©sitait. Je sais pas trop ce qui t’a dĂ©cidĂ© mais
 » 
 quoi ? Il ne savait mĂȘme plus quoi dire. D’un coup, et peut-ĂȘtre bien involontairement, son interlocuteur lui avait flanquĂ© une belle confusion. Comme tout homme sachant qu’une information peut parfois sauver une vie sa propre vie Erik les enregistrait mĂ©caniquement. Rapidement. Ross — Kuro — Brett — Kuro — Ross — K
 attendez. Attendez une minute
 
 Kuro-le-Kuro-de-la-Coupe-Noire ?! » se coupait-il soudainement avec une exclamation ! Kuro ? Le gosse qui s’était fait Ă©taler par ce bulldog des Enfers de Roxas ? Le petit mec paumĂ© d’Illusiopolis qui avait l’air prĂȘt Ă  se faire piquer son goĂ»ter ? Ce Kuro-ci ? Objectivement, l’escroc saluait la rĂ©silience perceptible dudit jeune combattant, il n’y avait pas Ă  en discuter mais l’incongru de la situation poussait son esprit Ă  en tirer le plus de ridicule cocasse substance, et comme suit Mais bordel de merde ! Avec TOUS les mondes existants — des milliers de mondes, qui pouvait le dire ?! — POURQUOI fallait-il toujours que les mĂȘmes personnes se croisent et se recroisent ? Se sĂ©parent puis se retrouvent ? Est-ce que c’était ça, le Destin ? Est-ce qu’il y avait une main divine pour mettre les noms de tous les hommes, les hybrides, les fĂ©es, les monstres et qu’en savait-il d’autre dans un bac, et les en tirer pour les faire se rencontrer ? 
 et toujours remettre les mĂȘmes noms dans le mĂȘme panier ?! Va te faire foutre, Etro ! pensa-t-il briĂšvement et, sĂ»rement, de façon bien injuste et n’avait rien contre Kuro, mais son apparition dans cette discussion Ă©tait symptomatique d’un problĂšme plus important — Erik n’aimait pas tant revoir de vieilles connaissances, mais elles le trouvaient sans cesse. Tu le connais ? » poursuivait-il par automatisme, sans y rĂ©flĂ©chir plus que ça. Une partie de lui Ă©valuait l’avantage que voulait lui confĂ©rer Ross avec son insigne et son conseil, mais peinait Ă  en estimer le bĂ©nĂ©fice. A imaginer que le dĂ©serteur-en-devenir Ă©tait honnĂȘte, pourquoi est-ce qu’un membre de la Coalition aiderait un quelconque individu en relation avec un traĂźtre ? N’était-ce pas, plus encore, une raison de vouloir lui soutirer des informations ? De le faire souffrir, lui faire cracher le morceau ? Alors
 
 pas que je compte avoir des soucis avec la Coalition mais
 pourquoi il aiderait ? » 
 est-ce qu’il Ă©tait en rĂ©alitĂ© un membre peu convaincu de l’organisation ? Bordel. Jimbo ne devait jamais apprendre ça. _______________________________Dim 20 Sep 2020 - 2126La dĂ©cision que je viens de prendre est lourde de consĂ©quences. C'est un choix complĂštement Ă©goĂŻste qui pourrait causer du tord Ă  mes proches et totalement me retomber Ă  la figure plus tard. Je pourrais m'en mordre les doigts. Est-ce que c'est vraiment la bonne dĂ©cision ? Ne suis-je pas complĂštement horrible de ne pas prĂȘter suffisamment d'importance aux rĂ©percussions de mes actes ? Au fond, je ne suis sĂ»rement pas certain de ce que je fais. Je ne suis peut-ĂȘtre pas capable de l'assumer. Et pourtant...- Je ne veux pas regretter de ne pas avoir tentĂ© de chercher mieux pour ma il devrait sĂ»rement mieux comprendre ce qu'il a dit qui puisse m'avoir poussĂ© Ă  prendre cette dĂ©cision. Et d'ailleurs, ce chic type ne m'a mĂȘme pas sautĂ© au cou Ă  l'instant oĂč j'ai prononcĂ© les mots "Coalition Noire". Bon, il est clairement dĂ©stabilisĂ©, ça se sent et c'est normal, mais j'ai l'impression que c'est plutĂŽt les deux prĂ©noms que j'ai prononcĂ© qui l'ont perturbĂ©. Sur ce point aussi, il y a de quoi l'ĂȘtre. La mention Ă  Brett est un peu sortie de nulle part et ça lui donne peut-ĂȘtre l'impression que je parle de moi alors qu'en rĂ©alitĂ©... Pas vraiment. C'est juste comme ça que j'avais appelĂ© Kuro lors de notre premiĂšre mission ensemble, au ChĂąteau de la BĂȘte. S'il savait pourquoi je l'ai appelĂ© comme ça, il apprĂ©cierait sĂ»rement moyennement, ceci dit. Il me semble que c'Ă©tait parce qu'il venait de dire quelque chose qui me semblait bĂȘte... Et du coup j'avais cherchĂ© quelque chose qui sonnait pareil. Bref, en tout cas, si j'ai sorti ce prĂ©nom Ă  Erik, c'est surtout pour que Kuro y reconnaisse directement ma Yep, c'est ce Kuro oui...Celui-lĂ  mĂȘme que j'avais aperçu en direct se faire dĂ©truire lors de cette maudite Coupe Noire, retransmise par l'Éclaireur. Vraiment, il en Ă©tait revenu brisĂ©, mĂȘme moralement. Ça faisait de la peine Ă  C'est un pote... Un des seuls, dans le groupe en fait, dis-je en me frottant la nuque, dans un aveu gĂȘnant qu'il comprendrait sĂ»rement aisĂ©ment. Il m'en doit une et il tient ses engagements, il a pas forcĂ©ment mauvais il ne faut pas non plus se faire d'illusions, il n'est clairement pas un enfant de chƓur. Il n'hĂ©site pas Ă  employer les moyens nĂ©cessaires Ă  parvenir Ă  ses fins, quels qu'ils soient. Pourtant, je reste persuadĂ© que dans le fond, il a une part plus lumineuse que j'ai dĂ©jĂ  pu observer, qu'il montre Ă  ses proches dont je suis, progressivement, parvenu Ă  faire Je vais devoir y aller, dis-je presque Ă  regret. Je dois encore retrouver mon amie. Merci encore pour tout, Erik !Je ne souhaiterais pas l'ennuyer plus que je ne l'ai dĂ©jĂ  fait et... Oui, je voudrais retrouver Amber tant que j'ai une trĂšs vague idĂ©e d'oĂč la chercher. Je lui jette un dernier regard, puis commence Ă  me retourner pour m'Ă©loigner avant de le saluer une derniĂšre fois de plus loin. Une bonne rencontre, que j'espĂšre refaire un de ces 6 Oct 2020 - 2326 Je ne veux pas regretter de ne pas avoir tentĂ© de chercher mieux pour ma vie. »Il avait dit ça avec un tel naturel, un tel sĂ©rieux, un tel Ă©lan de rĂ©solution. C’en Ă©tait admirable, vraiment. Mais loin de le faire sourire, elle pinçait l’escroc en ce qu’il avait de cƓur. Chercher Ă  vivre sans regrets Ă©tait bien louable mais c’était une tĂąche plus difficile qu’il n’y paraissait. A le chercher autrefois, Erik s’en Ă©tait en fait crĂ©Ă© d’autres
 et avec le temps, avait renoncĂ©. Alors il avait observĂ© Ross parler d’un ami qu’il laissait derriĂšre lui, sa mine de jeune premier un peu penaud flanquĂ©e au visage, puis courir aprĂšs une gosse va se faire bouffer, pensait-il, un sourire poli apparu, de circonstance, au coin de ses dĂ©gageait une impression douce et dĂ©sespĂ©rĂ©ment normale, avec une pointe d’idĂ©alisme dormant le genre de personne qui soit vit en se soumettant Ă  ce qui est, quitte Ă  ne jamais en ĂȘtre vraiment heureux, ou versent sang et eau en tentant de s’en dĂ©faire
 et souvent, Erik le pensait, y Ă©chouant. Le monde — les mondes — pour tout merveilleux qu’ils semblaient, pour plein d’opportunitĂ©s qu’ils paraissaient, obĂ©issaient en rĂ©alitĂ© tous aux mĂȘmes rĂšgles. Tant qu’il y avait les mĂȘmes hommes, les mĂȘmes autres, d’un lieu Ă  l’autre

 les forts mangeaient les Ross ne renvoyait pas l’image des premiers. Et Erik ne savait pas si celui-ci Ă©tait assez malin pour Ă©viter le sort le plus commun des seconds. C’était bien dommage. Il n’avait pas l’air mĂ©chant, en rĂ©alitĂ©. L’escroc se rejouait leur profond sentiment de fatigue l’ !Les jeunes paumĂ©s Ă©taient donc vraiment une faiblesse ! Vite, il courut les quelques mĂštres qui les sĂ©paraient. Hey ! » l’interpellait-il vivement ! Mais il ne l’entendait pas, avec tout ce monde ! Erik bousculait un passant, et deux jeunes filles qui profitaient de la vue. Il n’avait trop le temps de s’arrĂȘter alors il se contentait de rapides excuses vides d’intention. Il reprit ! ROSS ! » Ah, voilĂ , mieux le pauvre ne comprenait pas ce qui lui tombait dessus. E - Ă©coute
 » Erik reprenait son souffle, appuyant ses mains sur ses genoux, voĂ»tĂ©. Je te retiens pas plus mais
 » Grande inspiration. Il se redressa. Refaire sa vie, c’est compliquĂ©. Vraiment. » Il appuyait ce dernier mot, comme s’il espĂ©rait faire comprendre au jeune homme qu’il ne serait pas sorti d’affaire avec de simples rĂ©solutions. Il doutait fortement qu’il le comprenne de suite, ou qu’il en saisisse toute l’ampleur, mais merde ! Pour peu, on aurait pu dire que l’escroc envoyait des mĂŽmes Ă  leur perte ! Il poursuivit, sans trop laisser le temps Ă  son interlocuteur de contester, ou non. Alors
 si tu t’y perds, et que tu as de quoi te payer le billet, file Ă  Illusiopolis. Trouve le bar Chez RĂ©gis et dit que tu cherches Erik. Laisse ton contact. Ca devrait finir par m’arriver aux oreilles. »Il tapota son Ă©paule. En espĂ©rant que t’en aies jamais besoin. VoilĂ . Allez. Profitez bien de la soirĂ©e, toi et.. ton amie. DĂ©solĂ© si je t’ai fait peur. »Ceci dit, l’escroc s’apprĂȘtait Ă  retourner Ă  la foule, l’esprit plus lĂ©ger. Il inclinait poliment du espĂ©rait ne pas avoir fait une grosse 8 Oct 2020 - 1403Je suis lĂ , Ă  Ă©carquiller des yeux sans trop comprendre ce qui se passe ni pourquoi. Oh, ça, je peux vous dire que j'ai sursautĂ© tout de mĂȘme assez vivement, lorsque quelqu'un, noyĂ© dans la foule, m'a appelĂ© par mon prĂ©nom. Pendant la fraction de seconde qu'il m'a fallu pour reconnaĂźtre la voix d'Erik, j'ai mĂȘme cru avoir dĂ©jĂ  Ă©tĂ© retrouvĂ© par mon groupe. Une crainte dĂ©fiant Ă©videmment toute logique lorsqu'on y rĂ©flĂ©chit deux secondes, ceux-ci ne devant avoir aucune raison de me cherche aprĂšs seulement ces quelques journĂ©es d'absence sans avoir Ă©tĂ© donner mon rapport."Refaire sa vie, c'est compliquĂ©" a souhaitĂ© ajouter mon nouvel ami. Une phrase sur laquelle je devrais sĂ»rement mĂ©diter car y rĂ©flĂ©chir Ă  deux fois pourrait peut-ĂȘtre m'aider dans les jours qui s'annoncent. - Je sais, dis-je en me cherchant une assurance que je n'ai pas en fait, je ne sais pas. Je pense en avoir conscience, mais je ne peux pas savoir ce qui m'attend. On ne sait jamais de quoi le futur est fait. D'autant que je ne sais toujours mĂȘme pas oĂč j'irai, ni si je m'y rendrai seul. Et pourtant, c'est tout de mĂȘme un facteur important je n'ai jamais Ă©tĂ© longuement loin de mes proches ni livrĂ© Ă  moi-mĂȘme. Et visiblement, maintenant que j'ai appris ses origines, je pense que l'homme que j'ai en face de moi doit bien s'en tirer. Je n'y suis jamais allĂ©, mais tout ce que j'ai pu entendre concernant Illusiopolis n'a rien de bien Merci pour tout encore une n'a pu s'empĂȘcher de faire un dernier geste d'altruisme qui n'a pu que me toucher. Bien que j'apprĂ©cie ce brave homme, je n'aimerais pas lui causer d'ennuis et donc je prĂ©fĂ©rerais le rencontrer en d'autres circonstances que celle-ci. J'espĂšre moi aussi qu'il n'aura jamais besoin de ce que je lui ai offert, faute de pouvoir faire mieux pour lui rendre la Ă©change Ă©tant terminĂ© et ayant Ă  retrouver Amber, je commence par faire quelques pas en retrait, puis je m'arrĂȘte une derniĂšre fois pour saluer mon Au revoir, Erik !Cette fois, je m'Ă©loigne pour de bon, sans me retourner. Direction la plage, l'endroit offrant sĂ»rement une perspective inouĂŻe pour observer des feux d' 13 Nov 2020 - 2159Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Premiercas : un personnage / une dĂ©signation. Cette solution, pour ĂȘtre envisagĂ©e, demande que l'on fasse abstraction des diffĂ©rences morpho-syntaxiques entre plusieurs pronoms de troisiĂšme personne : il, lui, le. Ces variations formelles sont dĂ©jĂ  des dĂ©signations et l'indice que le cas envisagĂ© est assez thĂ©orique.

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VivianeMoore, Le seigneur sans visage. C'est un petit quiz de 15 questions assez simple et garanti contre l'ennui. Mais c'est important de l'avoir bien lu. Si on ne l'a que feuilletĂ©, on est quasiment sĂ»r de perdre. ThĂšme : Le Seigneur sans visage de Viviane Moore. Quel est l'animal de compagnie de Michel ? LeSeigneur des Anneaux : un nouveau trailer dĂ©mentiel pour la sĂ©rie Les Anneaux du Pouvoir. Le 22/07/2022 Ă  23:07. Le Seigneur des Anneaux : les Anneaux du Pouvoir ne cesse de se dĂ©voiler. A Cetarticle prĂ©sente une lecture psychologique des personnages du Seigneur des Anneaux (SDA) de Tolkien, Ă  la lumiĂšre de la thĂ©orie de l’attachement. Depuis sa parution, le SDA a fait l’objet de nombreux travaux, d’abord en pays anglo-saxons puis maintenant en français. Ces rĂ©flexions approfondissent particuliĂšrement les dimensions littĂ©raire, linguistique, mythologique LeSeigneur des anneaux : Le Retour du roi (The Lord of the Rings: Le personnage de Gothmog est ajoutĂ©, spĂ©cialement crĂ©Ă© par l'Ă©quipe pour le film, parce que Jackson trouvait que les Orques du Mordor ne soutenaient pas la comparaison avec les Uruk-hai du deuxiĂšme film. Christian Rivers redessine aussi le Roi-Sorcier d'Angmar, et ses scĂšnes sont tournĂ©es Ă 
Descriptiondu produit : DĂ©guisement Gandalfℱ (Le Seigneur Des Anneauxℱ) - Adulte. DĂ©guisement trĂšs rĂ©aliste de Gandalfℱ, personnage mythique de la saga Le Seigneur des Anneauxℱ (Lord of the Ringsℱ). Costume qui comprend une robe, une ceinture, un chapeau et une besace. La robe longue verte sera cintrĂ©e par une ceinture fournie
Lespersonnages, Ă©vĂ©nements ou objets nĂ©gatifs qui cherchent Ă  empĂȘcher sa quĂȘte sont nommĂ©s opposants. nom Ăąge Milieu social metier Physique caractere Seigneur guillaume De la Roche Seigneur du chĂąteau de roche guyon Beau (avant) Courageux et plein de compassion Vit ds donjon A la lepre ĂȘtre difforme (guillaume) AuTemps Noir Des FlĂ©aux. Le Seigneur Sans Visage. Viviane Moore. EditĂ© par Flammarion, 2010. ISBN 10 : 2081241994 ISBN 13 : 9782081241992. Vendeur : RECYCLIVRE, Paris, France Contacter le vendeur. Evaluation du vendeur : Ancien ou d'occasion - Couverture souple Etat : Comme neuf. EUR 4,19. Autre devise Livraison gratuite. Vers France QuantitĂ©
Découvrezles avis des clients Fnac sur Le Seigneur sans visage (Viviane Moore). Rayons. fnac.com. Magasins. Me connecter. Mon panier Le Seigneur sans visage. 5/5 17 avis - 17 sur les autres formats . Donner un avis Charte de rédaction et de modération 0. 1. 0. 2. 1. 3. 1. 4. 15. 5. Trier les avis. Les plus utiles; Les moins bien notés; Les mieux notés; Les plus récents; louis
Le Seigneur sans visage" est un roman policier nous renvoyant au Moyen-Âge. Michel, un apprenti chevalier, est au chĂąteau du Seigneur de la Roche pour suivre un entraĂźnement en vue de devenir un vĂ©ritable chevalier, lorsque l'entraĂźnement est interompu, en effet, une sĂ©rie de meurtres est comie.

Re Le Seigneur des Anneaux : les personnages Posté par lij le 20/08/2004 07:55:38: Comment peut on dire de ne pas aller voir le SDA ! Quelle honte, de toutes facons, il faut TOUT aller voir pour avoir son propre avis, et ne pas se le faire dicter par les autres, Les films sont des chefs d'oeuvres mais il est vrai que les bouquins les dépassent largement, c'est pour vous dire

Description Le livre de base de The Lord of the Rings RPG est abondamment illustré d'images provenant des films de Peter Jackson (du moins les deux premiers). Quelques dessins viennent décorer les pages concernant les archétypes de personnages proposés par défaut. Le volume est divisé en 12 chapitres, plus une introduction et un index. Un modÚle de feuille de
Notrethéorie : facile, c'est Sauron ! Quoique. Normalement, Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir doit nous montrer son irrésistible ascension, et le voir sous sa "forme finale" dÚs la saison 1 serait étrange. Difficile d'y voir son maßtre, Morgoth, qui n'est pas supposé avoir une taille ou une forme humaines. Soit il s'agit d'une forme de Sauron, soit de
l8eSDv.
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